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Comme toute pompe le corps répond à la même physique.

Avec le principe de la logique universelle qui s'applique de même pour tout il devient facile de comprendre le fonctionnement de son corps.

Prenez une pompe qui aspire de l'eau par l'intermédiaire d'un tuyau sans embouchure mais percé de petits trous assez suffisant pour capter la quantité maximum necessaire. Tant que le débit est respecté la pompe ne force pas, ne chauffe pas, pour garder un rythme régulier très longtemps, même à plein régime. Mais qu'adviendrait-il si on bouchait petit à petit les trous. Le débit s'amoindrissant, la pompe se mettrait à forcer pendant que le tuyau rentrerait en dépression pour s'écraser sur lui-même, jusqu'à ce que plus rien arrivant, la pompe s'emballerait pour finir de casser.

Notre organisme répond exactement à cette même physique. Le corps est constitué d'un réseau de nerfs, des tuyaux percés de petits trous appelés capteurs, dont le centre nerveux se trouve au-dessus du sternum. leur rôle est de capter les différentes hormones diffusées par l'organisme, notamment l'endorphine. Une sorte de morphine naturelle que le cerveau génère quand le sujet se trouve en situation de bien être et qui vous protéger de la peur, de la douleur, du stress et du vertige.

Après une bonne nuit de sommeil, le corps et l'esprit bien reposés, le cerveau diffuse beaucoup d'endorphines. Des substances que les nerfs captent pour se trouver en pression. La pompe peut donc donner son meilleur rendement sans forcer ni chauffer. Les nerfs détendus, le sternum ne se trouve pas oppressé et les poumons peuvent se développer au maximum. Une très bonne oxygénation pour permettre d'effectuer de gros efforts. Un bien être physique qui s'accompagne d'une similitude psychique.

En effet, dans cet état d'âme vous ne vous contrariez pas d'une taquinerie pour prendre plutôt cela à la rigolade. Une très grand tolérance aux tracas pour garder le sourire malgré quelques déboires. Une plus grande facilité à supporter la douleur pendant qu'il ne serait pas aisé à vous faire sursauter ou vous déséquilibrer. En conséquence de tout une grande amabilité limitant fortement l'agressivité, un rendement important sans s'épuiser rapidement et donc une meilleure lucidité pour faire face aux évènements. 

Un bien être qui pourrait s'accentuer si toutefois vous vous mettiez à faire une chose qui vous comblerait plus. D'un bien être plus intense le cerveau diffuserait encore plus d'endorphine pour finir à vous rendre euphorique. Si ce processus n'existerait pas, que rien de plus ne se produirait dans votre organisme selon l'occupation que vous exercez, vous ne trouveriez plus de nécessité à pratiquer un loisir. C'est pour cela d'ailleurs que l'endorphine est appelé aussi hormone de loisir.

Mais la journée se passe et vos muscles commencent à fatiguer pour vous retrouver petit à petit en situation de mal être. Un état qui va obliger votre cerveau à diffuser moins d'endorphine. Un taux de morphine naturelle dans le corps qui va amoindrir votre protection contre la peur, le stress, la douleur et le vertige jusqu'à influer sur votre humeur. Si au matin vous étiez très tolérant, la même taquinerie au soir vous déclenche la colère. le moindre coup et la douleur devient insupportable. Le moindre effort et vous êtes essouflé pendant que votre pompe s'emballe plus facilement jusqu'à perdre l'équilibre facilement. En d'autre mots, vous n'êtes plus la même personne qu'au matin pour être rentrer en état de déficience hormonale. Une asthénie suffisante pour vous faire passer de la tolérance à l'intolérance, de la bonne humeur à la colère, d'une grande force à de la mollesse, d'une lucidité à une grande perte de jugement et cela sans changer de façon de réfléchir ni de pensée. Aucunement votre personnalité n'a changé mais seulement votre humeur. Pour autant, comme le précise la thèse sur la théorie de St Thomas, quiconque ne vous ayant connu que le soir déduira de vous une personne continuellement antipathique.

Si vous insistez à rester éveillé votre état ne fera que s'aggraver. Plus de mal être, moins d'endorphine et des tuyaux fqui iniront par rentrer en dépression en s'écrasant sur eux-mêmes. Une pompe qui se mettra à forcer au risque de casser. La maladie du sommeil donné par un moustique apporte justement cette finalité. La personne n'arrive plus à dormir, son mal être s'accentuant, plus du tout d'arrivée d'endorphine, les nerfs s'écrasent complètement pour oppresser les poumons, une difficulté à respirerb et la pompe forçant trop finira par casser. Par conséquent, il nous reste plus qu'un chose pour retrouver un bien être, dormir. Reposer son corps et son âme pour provoquer une reprise de diffusion d'endorphine afin de repartir du bon pied le lendemain. Voilà pourquoi on dit du sommeil qu'il est réparateur. De l'état de mollesse et d'antipathie il vous permettra à revenir productif et tolérant.

Mais que se passerait-il si le lendemain à peine debout vous commettez une grosse erreur ou qu'au travail on vous harcelle. Malgré un bon repos physique vous ne pourriez plus être tolérant et rentable. La peur provoquant un état de mal être, le cerveau se met brutalement à rompre sa diffusion d'endorphine, les nerfs rentrent aussitôt en dépression pour s'écraser et vous faire mal au thorax. Une oppression à vous couper le souffle et atténuer fortement l'oxygénation. Vous ne pouvez plus avoir la même force physique malgré une bonne nuit. Les nerfs en dépression, votre pompe se met à forcer et chauffer rapidement malgré une activité moindre. D'une insistance dans cet état que la pompe forçant trop finisse par casser, accident cardiaque cérébral ou suicide.

D'où l'aberration de pratiquer le harcellement moral si vous voulez obtenir plus de rendement de votre salarié. La peur entraîne une baisse des performances physiques et mentale avec une plus grande difficulté à récupérer. Le rendre dépressif ne contribue qu'à augmenter les dépenses de la sécurité sociale pour le soigner, aggraver les accidents de travail par manque de lucidité, rendre les gens plus agressifs pour augmenter les dépenses de la justice et les impôts en rapport, jusqu'à entraîner des décès qui causent des problèmes familliaux, si ce n'est pas des divorces ou abandons de devoir parental. Un salarié qui rentrerait du travail avec encore de la diffusion d'endorphine pour n'avoir pas subit de harcellement supportera encore le bruit des enfants qui s'amusent au point de se joindre à eux. Se disputera moins avec son conjoint sur des broutilles pour être plus tolérant et aimable. Se querellera moins avec son voisinage pour moins de plaintes et d'agression à l'arrivée.

Quand on parle d'économie dans un pays on ne fait référence qu'à l'argent. On dit que les entreprises seraient plus rentables si elles n'avaient pas autant de charges à payer et en même temps on crée un management qui forment les dirigeants à abuser des peurs d'autrui. Tout le contraire d'une bonne résolution qui permettrait de baisser les charges Il faut remettre l'individu au centre de tout. Un salarié qui travaille dans des bonnes conditions se retrouve avec beaucoup de diffusion d'endorphine, un rendement amplifié en suivit d'une amabilité. Une plus grande difficulté donc à tomber malade et être agressif. Et qui dit moins malade et moins agressif, dit aussi moins de frais de sécurité sociale et de justice, une baisse des impôts et des charges d'entreprises à l'arrivée sans taper dans les effectifs ni réduire le social.

Le stress et la dépression sont devenus le mal du siècle à cause d'une économie qu'on a développé sur la base d'exploitation de l'individu plutôt d'une prise en compte du fonctionnement de son organisme afin de mettre en place les meilleures dispositions pour en obtenir le meilleur rendement. D'où l'importance d'avoir une vision altruiste pour diriger une société à la place de l'inconscience.

En attendant on peut étudier le comportement d'un dépressif. A cause de la peur son cerveau ne diffuse pratiquement plus d'endorphine. Quoi qu'il fasse il ne peut pas en diffuser plus sinon qu'une légère augmentation. De cela il ne trouve plus le besoin d'effectuer une chose plus qu'une autre pour ne plus vraiment sentir de différence. Il perd donc le gout des loisirs avec une tendance à vouloir de moins en moins sortir de chez lui. Parce qu'il lui manque l'énergie que fournit l'endorphine il ne peut plus fournir le même effort qu'avant et se fatigue plus vite. Une rediffusion d'endorphine très dure à redéclencher qui le pousse à dormir beaucoup plus que d'habitude pour récupérer. Le dépressif est dans un état permanent semblable à une personne très fatiguée physiquement malgré qu'elle n'a pas fait d'effort physique car tout est histoire d'un mal être qui entraîne une déficience hormonale. Un état mental qui le rend moins tolérant, plus facile à faire sursauter, moins protégé contre la douleur et le vertige.

Le dépressif restera dans cet état tant que la peur qui l'a causé est présente. Un état que l'on pourrait aggraver en le critiquant. En effet, la dépression entraînant le mal être, ce dernier ne ferait que s'augmenter et donc moins de possibilité de diffuser de l'endorphine si on n'arrêtait pas de lui faire des reproches. Des critiques qui finiraient par le pousser au suicide à cause d'une douleur interne qui ne supporterait plus. Alors que si vous parvenez à le faire rire, retrouvant un bien être, rediffusant momentanément de l'endorphine, vous l'aideriez à ressortir de sa dépression.   

 

 

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