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La langue de l'oiseau.

La langue de l’oiseau

 

 

Le Coran : Sourate 27 An Naml verset 16 les fourmis : Et Salomon hérita de David et dit : « Ô hommes ! On nous a appris le langage des oiseaux ; et on nous a donné part de toutes choses. C’est là vraiment la grâce évidente ».

Mythe de Tirésias : Athéna lui purifia les oreilles afin qu'il puisse comprendre la langue de l'oiseau et ainsi deviner l'avenir.

Mythe de Siegfried : ce fut grâce au sang de dragon qu'il put accéder à la langue des oiseaux, en comprendre sa magie, ses présages et ses augures.

Beaucoup d’écrits anciens font référence à cette langue de l'oiseau si particulière. Un langage qui pouvait anticiper l’avenir par des présages ou augures, procéder à des miracles, déclencher des catastrophes, modifier les choses à convenance, tout en pouvant apporter la grâce, et surtout la connaissance. Un idiome surnaturel en quelque sorte dont beaucoup aimeraient en connaitre les secrets. Se permettre de tout modeler à sa façon en énonçant juste une simple phrase. Le tout étant de savoir dans quel but, puisqu'il en serait tout autant efficace pour faire du mal que du bien ? Un dialecte, qui au bout du compte, ne devrait pas finir dans la bouche de n'importe qui.

Un enchantement qui n’obéissait qu’à des incantations dont très peu en détenaient finalement le secret. Une aptitude mystique dont certains s'en prétendaient des héritiers. Un don génétique qui se transmettrait de génération en génération, comme s'il n’était pas à la portée de quiconque, dépendant uniquement d'une certaine lignée, tels des titres de noblesses, alors qu'il pouvait tout autant se concéder de maître à disciple au sein de castes très restreintes ; des collèges de druides, génies, mages ou autres. Des cessions qui ne pouvaient s’opérer qu’à condition d'avoir déjà repéré chez le futur initié des promptitudes à l'acquiescer dans le bon sens. Toute suspicion à l'employer autrement se traduisant de facto en un refus.

Un enseignement qui pouvait durer des années avant de parvenir à une maîtrise parfaite de cet art. La maitrise d’un verbiage, parfois compliqué à dire, incompréhensible pour des novices, qui desservirait le bien, mais tout en étant apte aussi à jeter des sorts, porter atteinte à autrui, jusqu'à provoquer leur mort intentionnellement.

Deux pratiques différentes d’une même langue dont une en était surnommée la magie, assimilée à la bonne méthode, la seule qui n'engendre que le bien, en contre partie de la sorcellerie qui en résultait de son utilisation maléfique ; l’occulte.

Que conclure finalement de cette langue de l'oiseau ? Sinon qu'elle était dotée d’une grande puissance. Capable à elle seule de faire des miracles. Agir pour que tout aille au mieux là où personne le songeait réalisable, tout en étant compétente dans le même temps à susciter les plus grands calamités.

Sauf, qu'il est malheureusement possible d'en déduire autant de tous les autres langues du monde, quoi qu'elles en furent ou qu'elles en soient encore, à cause de cette aisance perpétuelle à manipuler l’esprit des faibles sans qu'ils ne s'en rendent compte. Les faire agir comme bon nous semble. Surtout dans le mauvais sens.

N’importe quelle parole, même de nos jours, peut soulager un esprit, le soigner en quelque sorte, lui rendre grâce en lui réparant tous les torts occasionnés, ou au contraire lui porter préjudice en le dénigrant devant tout le monde. Jouer uniquement sur les mots pour apaiser la souffrance de certains en leur redonnant espoir en un avenir meilleur avec des paroles rassurantes, pendant qu'on pourrait déclencher la douleur à d’autres avec des propos blessant. User d’un certain verbiage pour éveiller le bien chez les uns, pendant qu'on pourrait apporter le mal aux autres, sans n'avoir besoin de percer des poupées avec des aiguilles. L’insulte étant largement suffisante pour irriter quiconque, pendant qu’une seule bonne parole pourrait lui rendre son sourire.

Que des langues de nos jours, comme celle de l’oiseau auparavant, qui peuvent tout autant guérir les esprits que les martyriser. Opérer à des transformations, comme celle de transmuer des agneaux, des personnes qui se tenaient tranquilles, en des loups d'une grande cruauté après les avoir outragés de critiques. Déclencher des catastrophes, telles des guerres, en se servant de mensonges pour les monter les uns contre les autres. Que des dialectes qui sont tous autant qualifiés pour apporter le bien comme le mal selon la formulation utilisée, sans qu’ils n’en soient l’effet d'un don naturel, puisqu’aucun langage n’est inné. Personne ne pouvant en détenir un de naissance, ni jamais le pratiquer si on ne l’éduquerait pas dans ce sens.

Une langue de l'oiseau qui ne pouvait donc pas s'obtenir de façon naturelle, s'hériter ou être un don, ni être autant extraordinaire qu’on le prétend, puisque la manipulation mentale a toujours été à la portée de quiconque détenant la parole, qu’il soit d’hier ou d’aujourd'hui. Sauf, si cette linguistique ancienne était vraiment capable dans le même temps à réellement faire apparaître ou disparaître les choses, à la suite d'abracadabra ou de sésame ouvre toi, tout en étant susceptible de ramener les morts à la vie.

Des prodiges qui, au regard des traductions de récits d’antan, devaient se produire souvent, comme si cela faisait partie de leur quotidien à ne surprendre plus personne. Normal qu’une personne débarque sur un tapis volant, qu’un autre fasse voler les choses d'un simple claquement de doigt, ou qu'un troisième provoque une tempête à la suite d'un charabia pas possible. A moins que tout cela ressorte d'erreurs d’interprétations. Des traductions faites au premier degré de transcriptions qui ont été établies au second, voire au troisième.

Un phrasé ancestral qu'il ne fallait peut être pas prendre à la lettre, tels les égocentriques ont l'habitude de pratiquer, puisque les anciens avaient su très vite pratiquer la métaphore. User de formulations qui ressemblent beaucoup à celles qu'on utilise encore de nos jours. Surtout quand on décide de remettre en avant l’idéologie ou la doctrine d’un défunt. On parle de faire revivre sa pensée, ou la faire renaitre, non pas en ressuscitant l'auteur, mais en remettant seulement ses idées au goût du jour. Une sorte de résurrection certes, puisqu’on leur redonne une consistance, mais uniquement de sa suggestion.

Tout comme paraitre mort aux yeux de tous alors qu'on est encore vivant. Seul quelqu'un qui aurait vécu une mise à l'écart pareille pourrait témoigner d'un tel ressenti quand plus personne ne vous calcule, avant qu'on vous réhabilite. Qu'on suscite à nouveau (ressuscite) votre attention.

Qui n'a jamais dit à un autre qu'il le considérait comme mort, en réponse d'un forfait qui l'avait fortement déplu ? Vivre comme s'il n’existait plus, avant qu'on s'aperçoive qu'il n'était pas le vrai coupable. Une mise à l’écart injuste au point de s'excuser auprès de lui, et ainsi réhabilité pour le faire renaître aux yeux de tous. Une renaissance sans que la personne n'en fut vraiment morte physiquement, mais uniquement dans l'esprit des autres.

Une résurrection des corps qui semblait néanmoins possible à la suite de la lecture du livre des morts chez les égyptiens. Une réputation à pouvoir ramener à la vie l’esprit de l'Imhotep, à condition d’être apte à déchiffrer correctement toutes les incantations qui sont inscrites dedans. Des intitulés desquels il en fut vite insinué une possible réincarnation de sa momie, au point même de l'envisager dans un film à succès. Sauf, que cela ne faisait référence qu’en la capacité de traduire correctement ce livre dans lequel il était mentionné toutes ses découvertes. Pouvoir ainsi recourir à des connaissances ancestrales qui s’étaient perdues, puisque plus personne n’était devenu apte à déchiffrer son langage après sa mort.

Qui parvenait donc à décoder les incantations du livre des morts, traduire correctement ce livre, pourrait faire revivre l'esprit de l'Imhotep en restaurant tout son savoir qui s’était perdu.

Un langage de l'Imhotep qui n'était pas à la portée du peuple mais uniquement de quelques initiés, et qui était tombé dans l’oubli avec le temps. Plus personne qui ne le parlait jusqu'à devenir une langue morte. Une impossibilité donc à faire revivre son esprit tant que personne ne parviendrait à déchiffrer son écriture.

Des rouleaux anciens qui font référence justement à ces deux langages. Un spirituel qui se différenciait du populaire, alors que leur apparition furent simultanés. Une formulation initiale, la seule qui correspondait au véritable savoir que les premiers initiés avaient tenté de préserver, tout faire pour que les autres n'en dénaturent pas son sens, celle utilisée entre autres par l'Imhotep, et la deuxième qui fut rapidement adoptée par le peuple, mais qui en était vite devenue une transfiguration de l'original.

Une fâcheuse tendance des égocentriques, de ceux inaptes à s’élever mentalement, à rejeter systématiquement toute vérité qui dérange, avant de s'en imaginer que des versions préférentielles à la place.

Deux langages différents tel que cela est précisé dans une tablette babylonienne de Kharsag.

Tablettes babyloniennes de Kharsag / CBS 14005 (face b, ligne 13) : une Ninhursag qui utilisait deux idiomes. Le M-An, traduit par langage du ciel (tablette Kharsag 8322. Face B, colonne 3, ligne 8). Un premier langage uniquement réservé aux initiés comme langage spirituel, et le M-S pour l’enseignement de base à tous.

Un M-An qui en signifiait « la maîtrise (M) de la lumière (A) primordiale (N) » en langue de l'oiseau, de l'intelligence à l'origine de la création, pendant que le M-S en définissait précisément cette absence de « maîtrise (M) de la spiritualité (S) ».

Des langages dont on ne pourrait jamais en deviner leur origine, ni la base de leur fonctionnement original, si on ne sait pas comment fonctionne l’évolution mentale. L’influence notamment qu'ils ont exercé au sein de celle-ci.

Une capacité qui n'est possible qu’à condition de posséder les organes adéquates. Or, notre espèce, comme toutes les autres, ne possédaient que des cordes vocales trop peu émancipées aux prémisses. Incapables à produire une variété de sons. Juste utiles à exprimer certains émois par des cris, que ce soit pour affirmer la détresse, une douleur, ou une joie. Rien d'assez conséquent pour réellement communiquer entre eux.

Des organes dont on peut en améliorer leur rendement qu'en les obligeant à travailler plus. Une même mécanique qui fonctionne comme les muscles qu’il faut faire chauffer en les sollicitant plus. Un corps qui est constitué à 80 % d'eau avec sa caractéristique qu’on lui connait. Une matière qui prend vite du volume quand elle monte en température. Des cordes vocales qui ne pouvaient donc pas grossir tant qu’on ne les habituait pas à une chauffe plus importante et régulière pour que ses composants montent en puissance.

Or, nos premiers ancêtres étaient végétariens, une inutilité à vraiment se concerter pour cueillir des fruits, chacun y parvenant seul de son côté. Une survie qui dépendait plus de la quantité de nourriture à disposition que de contact entre eux.

Sauf, que rien n'est éternel, puisqu’on vit sur une planète qui est sans cesse en mutation, même si ces fluctuations sont lentes, voire presqu’imperceptibles sur une génération, mais qui génèrent quand même de grands changements avec le temps. La bascule d'une période tempérée à une glaciaire, avant de revenir sur un réchauffement planétaire, des séismes, éruptions volcaniques, ou des périodes diluviennes, glissements de terrains et inondations, qui n'ont engendré que des modifications de l’environnement. Un désert du Sahara qui était tout vert auparavant, pendant que le Groenland, comme son nom l'indique - terre verte - en est recouvert que de glaciers aujourd’hui.

Une Terre qui tourne comme une roue mal équilibrée à cause d'un poids à sa surface qui n'est jamais bien reparti. Des continents qui se trouvent en grande partie dans l’hémisphère Nord, pendant que celui du Sud est recouvert à 80 % par les océans.

Une écliptique, l’inclinaison de la ligne de l'équateur par rapport à celle perpendiculaire au soleil, qui se modifie continuellement, et qui en conséquence n’offre jamais les mêmes surfaces à la même inclinaison de ces rayons.

Une logique qui s'applique pour tout sans exception et de même manière. Une Terre, comme toute autre chose, qui se met toujours à pencher du coté le plus lourd.

Des variations de température qui s'explique par le phénomène de gravitation. Des effets qui varient selon la grosseur de l’étoile qui influe sa vitesse de rotation.

Si vous prenez un bâton pour faire des petits ronds dans l'eau. Grâce à une vitesse de rotation très rapide vous pourriez créer un tourbillon qui attirera tout à lui. Une même vélocité que vous ne pourriez plus préserver si vous agrandissez les ronds, à cause de la plus grande quantité de matière à mouvoir pour les réaliser. Toute énergie, qu'elle soit mécanique ou dépendante de la force humaine, perd systématiquement de la vitesse quand elle grossit. Une célérité qui s’amoindrit de plus en plus jusqu'à inverser l’attraction en une répulsion.

Quand on fait des grands ronds dans l'eau, en plus de ne pas parvenir à les faire aussi vite que des petits, plutôt de continuer à attirer les choses, on se met à les repousser.

Un même phénomène que l'on retrouve dans le fonctionnement de l'esprit. De peu connu au début on ne pourrait qu'attiser la curiosité – l’attraction – un désir des autres à en savoir plus sur vous, avant que ce processus s’inverse dés lors que vous devenez trop important. Une grandeur que beaucoup, craignant de se retrouver dans l’ombre, se mettent à rejeter par jalousie - la répulsion.

Des processus d’attraction et de répulsion, et donc de la vitesse à leur origine, qui dépendent de la grosseur de l’étoile qui se situe au centre d'un système, tel notre soleil dans le nôtre.

Un soleil qui en grandissant, sa vitesse de rotation s’amenuisant progressivement, avait fini par rentrer dans une phase de répulsion de la Terre au loin. Une distance devenue trop éloignée pour qu'il puisse continuer à bien la chauffer en surface. Une Terre qui s’était donc mise à refroidir considérablement dans son ensemble. Une eau qui s'était transformée pour la plupart en glace, s’accumulant sous forme de glacier dans l’hémisphère Nord, ne ravitaillant plus les océans, causant ainsi une chute de leur niveau de 120 mètres.

Inclinaison des rayons solairesUne baisse importante de l'eau à l’état liquide qui avait nettement affaibli le poids dans l’hémisphère Sud, constituée en grande partie de cela, pendant que celui du Nord s’était mis à augmenter considérablement à la suite des glaciers qui s'y étaient formés. Certains ayant même atteint un km d’épaisseur. Une Terre qui finit par basculer du côté le plus lourd. Une modification de l’écliptique, et d’exposition donc aux rayons du soleil, qui ne pouvaient plus apporter de mêmes températures aux mêmes endroits que précédemment.

Mais un soleil, qui une fois atteint son apogée, sa taille maximale, avait tellement tout rejeté au loin qu'il ne pouvait plus s'avitailler. Tout comme un feu qui n'est plus alimenté il s’était donc mis à régresser, réduire progressivement en volume, avant de reprendre assez de vitesse pour redémarrer l'attraction. Une Terre qui revenant donc vers lui, et qui recommençait à se réchauffer par l’équateur. Sa partie qui est la plus exposée à ses rayons.

Une fonte première des glaces à ce niveau qui avait transformée cette partie centrale du monde en un grand contrée très verte. Un Sahara qui en était comme la forêt amazonienne. Une nature luxuriante qui offrait de la nourriture abondante à notre espèce.

Sauf, que la Terre se rapprochait de plus en plus du soleil. Une répartition du poids sur la Terre qui continuait à se modifier. Pendant que l’hémisphère Nord s'allégeait de ces masses importantes de glace, celui du Sud s'alourdissait d’autant avec la remontée des océans. Ce qui finit par engendrer une bascule de la Terre dans l'autre sens. Une modification de l'écliptique à exposer de plus en plus la région équatoriale au soleil, pendant que le Groenland qui en était devenu vert, n’étant plus lui-même soumis aux mêmes inclinaison des rayons solaires, se refroidissait.

Une région de l'équateur dans laquelle notre espèce avait pris forme, si florissante au début, mais qui s’était petit à petit désertifiée avec le temps. Une modification de l'environnement qui les contraint à trouver un autre moyen pour se nourrir. Compenser le manque de végétaux par de la viande. Sauf, que notre morphologie n'a jamais été celle d'un prédateur. Essayer d'attraper un lapin uniquement avec vos mains, ou maîtriser tout seul une antilope, pour vous apercevoir à quel point cela est impossible. A moins de s'y mettre à plusieurs pour encercler le gibier et le maintenir. Une entente qui nécessite une meilleure communication entre eux.

Une espèce qui est fainéante de nature, qui n'anticipe rien, et qui ne fait un effort pour changer que quand elle ne peut plus faire autrement pour assurer sa survie.

Des coordinations premières qui devaient se limiter à du gestuel, avant qu’ils s’efforcent à émettre de nouveaux sons pour mieux la parfaire. Une chauffe plus importante et régulière de leurs cordes vocales qui permit à celles-ci de se développer jusqu’à devenir capables de dégager quelques gammes avec le temps. Mais des échanges qu’ils avaient cantonné au minimum nécessaire à leur survie. Pourquoi se fatiguer plus quand on peut déjà se satisfaire de ce qu’on a.

Des grottes préhistoriques qui nous éveillent justement sur cette évolution, surtout sur la période à laquelle elle s’était produite, parce que le langage développe des facultés nouvelles qu’on ne pourrait pas détenir sans lui.

L'exemple d'un soir dans un restaurant comble. Malgré un aperçu général de toute la salle on n'en retient que les images qui nous portent de l’intérêt. Un rejet de toutes les données non interprétées dans la subconscience - la mémoire subjective - avant de rencontrer une personne quelques jours plus tard signifiant sa présence dans ce même restaurant, au même soir, et qui se tenait près de nous. Une vision de cette personne dont il nous en reste pourtant aucune souvenance. Une défaillance de mémoire que ce dernier tente aussitôt d’éveiller en apportant des indices supplémentaires. Assis à notre droite, un pull vert etc. Exprimer plus de noms aux détails, jusqu'au moment où il parvient à nous faire interpréter l’image qu’on avait déjà de lui dans la tête, avant de s'exclamer : ça y est je vous voie maintenant ! Une image de cette personne que nos sens avaient bien capté ce soir-là, mais sans lui avoir accordé un nom bien précis sur le moment pour la placer dans la mémoire vive, celle dont on se sert pour bien voir les choses et s'en souvenir. Une image qui était donc restée dans la subconscience nous empêchant d’en avoir une vision concrète.

Une subjectivité qui nous joue souvent des tours. Qui en croisant une personne ne s'était-il pas demandé s'il ne l'avait pas déjà vu auparavant sans pour autant s'en souvenir d'où et quand ?

Rien ne peut se voir ni s’innover sans dénomination bien précise, puisque la vision des choses ne découle que de l’interprétation qu’on en fait.

Une perception des choses qui en devient équivoque lors de la lecture. Pour bien voir les mots et les retenir il faut obligatoirement se les répéter dans la tête. Le mieux serait de les lire à haute voix, mais cela deviendrait vite contraignant pour l’entourage. Aussi, si quelqu’un vous parle quand vous lisez, ou que vous vous mettez à penser à autre chose en le faisant, vous empêchant la répétition des mots, vous n’en retiendrez rien du tout. De simplement visionner les choses ne suffit pas pour les voir, et encore moins s’en souvenir.

Un mutisme qui est donc général au naturel, aucune notion de langage à la naissance, un aperçu uniquement subjectif, et qui explique pourquoi personne ne se souvient des premières années de sa vie. Une déficience de mots au départ, nulle répétition de ceux-ci, une mémoire vive qui se remplissait très peu, tel qu’il en fut pendant des millénaires pour nos ancêtres préhistoriques tant qu'ils n'avaient pas su développer de méthode pour s'exprimer correctement.

Si en regardant un zèbre passé au galop vous en n’interprétiez que les détails avant de les associer pour en deviner l’animal qui en ressort, vous ne parviendriez jamais à le définir complètement avant qu’il ne soit plus en visu. Une étude syllabique, lecture du plus petit au plus grand, qui ne permet pas un aperçu rapide des choses, et qui n’entraîne pas de bons réflexes pour chasser ou se parer de tout danger. Une attention minutieuse qui était alors considérée comme trop futile par les premiers hommes qui se contentaient d’une vision beaucoup plus globale. Un aperçu très succinct de l’ensemble suffisant pour parfaire à une reconnaissance ultérieure. Une observation beaucoup moins précise certes que la syllabique, mais qui avait l’avantage de faire réagir plus vite en conséquence, nonobstant une mémorisation trop peu importante pour en faire des reproductions. Un néandertalien qui ne dessinait pas.

Lettres dans le desordreUne phrase sur la photo qui ne peut se lire qu’avec la méthode globale, puisqu’elle ne se sert que d’une vue d’ensemble des mots pour les reconnaître, même si l’intérieur est tout en vrac, mais qui est impossible à parfaire avec une méthode syllabique qui ne cherche à définir un mot qu’à travers un déchiffrage correct de tous les détails qui le composent.

Un exemple qui donne néanmoins une idée de l’appréciation qu’avaient les préhistoriques de la nature. Une vision très sommaire de leur environnement qui ne leur concédait pas un décryptage acceptable de celui-ci. Une estimation encore trop fugitive au début de l’ère de cromagnon pour ne leur autoriser que des dessins simplistes.

OursPhoto d’ours : Dessin qui ne résulte que d’une appréciation globale parce qu’ils ne détenaient pas encore à cette époque de langage assez développé pour percevoir les détails, les mémoriser et les reproduire.

 

 

Deux façons disparates de percevoir les choses, de manière globale ou syllabique, dont il serait bon grès de s’en servir pour expliquer la différence entre l’inculte, la connaissance, l’expérience, et l’intelligence.

L’inculte : Il se traduit par de la méconnaissance. Le fait de ne pas détenir de référence de base sur tout, ou ne serait-ce que vis-à-vis d’un seul domaine. On pourrait se retrouver totalement inopérant en chimie tout en maitrisant parfaitement la géographie. Un inculte en éducation de l’écriture et la lecture est donc une personne qui ne sait pas expliquer en quoi consistent les deux méthodes.

La connaissance : Elle se définie par la détention d’un savoir de base dans un ou plusieurs domaines. Tel d’être capable à expliquer le fonctionnement des deux méthodes possibles d’apprentissage de la lecture et l’écriture.

Sauf, que cela ne suffit pas pour deviner à l’avance laquelle des deux pratiques, la globale ou syllabique, en serait la plus prompte à engendrer des résultats positifs.

Une connaissance de base certes préférable à l’inculte, mais qui reste quand même insuffisante pour devenir un bon instructeur dans ce sens.

L’expérience : Elle résulte d’une constatation de faits après avoir mis en pratique les deux méthodes avant d’en déduire la meilleure. Ce qui implique une détention de la connaissance au préalable. Comme essayer uniquement la méthode globale, puis celle syllabique, s’apercevoir des effets de chacune, avant d’en préjuger la plus efficace.

Une expérience qui se limite qu’à la mise en pratique d’une connaissance à la suite de laquelle on ne peut qu’en constater leurs effets sans pour autant être capable d’en expliquer les motifs. Un mécanisme que seule l’intelligence permet de résoudre.

L’intelligence : Elle correspond à l’aptitude à comprendre où se trouve la vérité, la faculté de la percevoir, ainsi que la compréhension du fonctionnement des choses. Toutes les méthodes de transformations qui engendrent les causes vis-à-vis des effets.

Quiconque détiendrait cette faculté, en plus d’en saisir en autodidacte le fonctionnement de la psyché, en devint capable en même temps d’en évaluer d’avance les effets par rapport aux causes ; la médiumnité. A deviner dans l’exemple suivant que pour la lecture et l’écriture il faut utiliser les deux méthodes, la globale pour apporter une lecture rapide des choses, et la syllabique pour en permettre une bonne reproduction.

Une mise en application des deux méthodes mais qui doit s’opérer dans un sens très précis. Un mot étant comme le zèbre que l’on regarde passer. Si on voudrait vite l’interpréter comme l’on pratique avec cet animal quand il court vite, le lire très rapidement, on ne pourrait y parvenir qu’en utilisant la méthode globale. Un aperçu très succinct de l’ensemble pour n’en repérer uniquement les plus gros traits suffisants à une reconnaissance ultérieures. Commencer donc par montrer le mot en entier aux enfants pour qu’ils puissent en avoir son dessin complet dans la mémoire, le décomposer ensuite en syllabes, leur faire un parallèle avec les sons qu’elles représentent, avant d’en énumérer les lettres qui les constituent de façon à permettre une bonne reproduction. Une bascule du global vers le syllabique et non le contraire.

Un global, la mise en mémoire des mots dans leur ensemble, qui permet aussi à se rappeler de leur écriture. Qui de tête, ne se souvenant plus comment en épeler un, se mit à le griffonner pour mieux le visionner, avant d’en retrouver son orthographe ?  

Une connaissance et une expérience en définitif qui ne sont pas satisfaisantes pour en décréter une intelligence.

Des ancêtres qui s’étaient donc mis à dessiner uniquement les contours au début par déficience de verbiage assez suffisant pour en cerner, retenir, et reproduire les détails, avant qu’il le devienne plus conséquent avec le temps. Un qui rentrait plus dans les détails, mais uniquement pour décrire ce qui assurait leur survie. Détailler mieux un animal pour le chasser ou le découper pour le manger.

Grotte chauvetGrotte Chauvet : Une datation de 37000 ans, soit 35000 ans avant JC. Des dessins qui confirment une mémorisation plus importante de détails apte à les reproduire.

Une période aux alentours de 37000 ans avant JC qui nous renseigne sur l'évolution. Qui démontre une certaine maîtrise du détail, mais dont ils en avaient limité l'usage qu’à leurs proies. Une première base qui finira par se généraliser plus tard, aux alentours de – 11000 ans avant JC, engendrant ainsi les premières connaissances, avant que la révélation se produise aux alentours de – 8800 ans avant JC. La découverte en l’existence d’une seule induction céleste à l’origine de toutes les créations ; l’arrivée sur Terre de l’intelligence.

Une langue de la connaissance qui ne se limitait qu’à donner des noms au choses, qu’il ne faut surtout pas confondre avec celle de l’intelligence qui en explique leurs fonctionnement, comme cela est expliqué précédemment, mais qui en fut quand même à l’origine des neuf muses. Des neuf capacités mentales nouvelles qui ne pourraient jamais s’affirmer sans une dénomination précise des choses.

  • La mémorisation.
  • La vision cérébrale.
  • La rhétorique.
  • La connaissance.
  • L'innovation.
  • Le dialogue.

La mémorisation : Elle n’est l’effet que d’une meilleure appréciation des choses auxquelles on a su leur attribuer un nom bien précis (L'exemple du restaurant). Des nominations sans lesquelles toutes les données finissent dans la subconscience. La création de la mémoire consciente, à ne pas confondre avec la conscience de soi, qu’on nommera donc la mémoire vive pour éviter toute confusion.

La vision cérébrale : Vision qui résulte uniquement de la mémoire vive, celle des données mémorisées dont on n’a pas peur de s’en souvenir, quitte à ce qu’elles ne soient pas conformes à des vérités, comme dans le cas des témoins dans l’histoire de l’ami et du tiers intervenant (thèse sur la majorité). Des informations facilement manipulables comme de la glaise puisqu’elles ne dépendent uniquement de la définition que l’on donne aux mots. D’où le surnom d'esprit d'argile à l’égocentrisme qui se manipule aussi facilement que cette glaise, à laquelle il suffit d’attribuer deux noms différents à la même chose pour qu’elle ne se les imagine plus pareils.

La rhétorique : De la venue du langage et la mémorisation, sa vision cérébrale, en résultait aussi les premières idées. Sauf, que la parole permettait aussi le mensonge et l’apparition de versions fallacieuses. Des points de vue qui pourraient sembler justes aux primes abords, alors qu’ils n'ont aucun lien avec du réalisme.

La connaissance et l’innovation : D’une première estimation de l’environnement à la suite de la mémorisation en étaient issues les premières associations mentales d’éléments qui permirent la venue de découvertes et innovations.

Le dialogue : Un langage qui commençait à permettre des échanges plus précis, mais qui fut aussi à l’origine des premières joutes verbales. Des disputes qui pouvaient pourtant se clarifier à l’amiable à la place d’affrontement physique, mais qui en devinrent l’effet de manipulations verbales qui commençaient à s’imposer. Des mensonges à déclencher de nouveaux motifs de querelles qui ne pouvaient pas exister auparavant.

Six premières muses - capacités mentales - qui en annonçaient trois autres par effet. Un mot Muse qui vient de musa en latin « la maitrise de l’élévation spirituelle vers la lumière ». Une maitrise que l’on ne peut pas acquérir sans le langage, l’observation, et une analyse concrète de cette dernière.

  • L'astronomie.
  • L'histoire.
  • La médecine.

L’astronomie : Une meilleure vision, un meilleur sens de l’observation, une association plus précise des éléments, notamment célestes, qui apportaient les premières notions dans ce sens. L’élaboration du premier calcul du temps en se servant de la lune ; le culte lunaire. La possibilité pour la première fois sur terre à envisager l'avenir, réagir en conséquence, anticiper certains d'entre eux, et se diriger en utilisant les étoiles.

L’histoire : Un meilleur aperçu du déroulement de sa vie, un début de mémorisation de celle-ci, un langage pour la transmettre, un calendrier lunaire pour la situer dans le temps, qui annonçaient donc la fin de la préhistoire et le début de l’histoire. Les prémisses de délégations de récit d’une génération à l'autre grâce à la venue de l’esprit d’argile vers 11000 ans avant JC. Une transmission uniquement verbale au début avant qu’elle en devienne retranscrite par écrit.

Une ère de l’histoire qui n'avait pas commencé quand elle fut écrite, mais quand elle fut transmissible pour la première fois.

La médecine : Une nature beaucoup mieux visualisée, un comportement animalier mieux étudié, un parallèle entre les plantes ingurgitées et les maux qu’il souffraient, jusqu’à commencer à en répertorier celles médicinales de celles nocives. Une nouvelle science qui pouvait tout autant guérir que tuer par empoisonnement.

Neuf capacités nouvelles qui firent un temps soi peu évoluer notre espèce sur le moment, mais qui en en devinrent malheureusement très vite la source d’effets secondaires très nuisibles.

  • Le mensonge.
  • L'hypocrisie.
  • La manipulation mentale.
  • La mythomanie (Mégalomanie).
  • Le matérialisme.
  • La guerre.

Tant qu’aucun langage n’avait vu le jour, aucune critique ne pouvait exister, d’excuse à vivre dans la peur de vérité, et donc de raison à refouler sa conscience. Personne qui pouvait mentir, se prétendre une chose tout en étant son contraire, faire croire ce qu’il veut à l’autre, s’imaginer sans cesse le meilleur en ne s’inventant que des versions qui l’arrange etc. Que des tares qui sont venus se rajouter à celles naturelles au point d’engendre la honte de la vérité, et le mauvais réflexe donc de refouler sa conscience, le mimétisme qui l’accompagne, pour ne se retrouver avec quelque chose qui nous retiendrait de faire du mal à l’autre.

Un langage de la connaissance qui en fut donc à l’origine de l’ouverture de la boite de Pandore, la venue de l’inconscience accompagnée de tous ces maux qui transforma notre espèce, jusqu’à ce qu’elle en devienne la plus cruelle sur Terre.

Un mal qui commençait à s’étendre sur la Terre parmi ceux qui étaient parvenus à acquérir ce premier langage aux dépends de tous les autres encore préhistoriques. Des cadets de l’évolution qui s’en étaient même rapidement imaginés supérieurs à leurs ainés au point de les soumettant à eux, jusqu’aux alentours de – 8800 ans avant JC où une autre personne en devint la première sur Terre à obtenir la révélation.

La découverte en l’existence de l’intelligence suprême. La seule induction dans l’univers qui permet d’acquérir le véritable connaissance, savoir comment tout fonctionne, y compris l’esprit, pour comprendre comment le soigner de tous ces maux. Une intelligence universelle qui fut surnommée la pensée spirituelle mais qui est plus connue de nos jour sous le nom de la logique.

En effet, si vous voulez savoir comment tout fonctionne dans l'univers, uniquement la logique peut vous apporter les réponses, parce qu'elle est la seule induction qui l’administre.

Ne peut en deviner la mécanique des choses que celui qui sait adopter le même raisonnement qui permit leurs réalisations.

Une logique qui ne peut engendrer qu'une seule (Mono) vérité (Thème) qui soit valable pour tout de la même manière ; le monothéisme.

Si le soleil vous chauffe alors il en serait de même pour tout. Il ne peut pas en chauffer certains tout en refroidissant d'autres.

Une logique qui est implacable dans ce sens. Quand on est une chose on ne peut pas en être son contraire en même temps, représenter encore moins les deux en même temps. Un raisonnement dans lequel il n’existe pas de juste milieu, mais que des antinomies. Un tout qui détient obligatoirement un contraire. Sinon, comment déterminer le bien si le mal n'existerait pas. Le haut si on ne pourrait pas le comparer au bas etc.

Une logique qui existe depuis la nuit des temps puisqu'elle en fut une des actrices de la création. Celle qui gère tous les processus de transformations qui engendrent les créations. Mais dont personne n'avait su en déceler sa présence jusqu'aux alentours de – 8800 ans avant JC.

Que des ancêtres qui avaient végété pendant des millénaires sans parvenir à acquérir la véritable connaissance, même s’ils étaient parvenus à obtenir un meilleur aperçu de leur environnement, et qui les avait empêcher donc d’évoluer.

Un fonctionnement de l’intelligence qui est accessible à tous pour la détenir dans notre conscience, ne devant notre existence qu’à une réaction en chaine qui n’obéit qu’à celle-ci. Une induction qui est universelle, une même logique qui s’applique à tout de même manière, avec un infiniment petit qui fonctionne comme l’infiniment grand.

Qui en devinerait comment fonctionne le monde ici-bas, notamment le mental pour répondre à la même mécanique, devinera comment fonctionne l’univers pour obéir aux même préceptes.

D’où l’idée de cette personne à profiter de la supernova qui venait de se former dans la constellation du cygne, devenue la plus brillante étoile dans l’univers, pour en vérifier sa découverte. Une étoile qu’elle prit à tort pour celle de la création, tout en la considérant au centre de l’univers autour duquel tout tournerait. Ce fut ainsi qu’elle en calcula son cycle en créant le premier calendrier céleste ; l’astrologie. Un calendrier qui n’avait pas de lien avec une révolution autour du soleil comme on le fait de nos jours.

De cela elle avait décidé d’élaborer un langage qui allait expliquer comment tout fonctionne réellement, le seul qui répond à la logique, au seul raisonnement terrestre qui se communie avec celui céleste, dont elle avait envisagé sa naissance dans la constellation du cygne. D’où le surnom de la langue de l’oiseau pour ce langage.

Un dialecte primordial qui en fut donc à la source de l'alphabet, un ordre des signes qui n'avait pas été aléatoire, car il ressortait d’un enchaînement rationnel de seize sons qui suivaient le rythme de l’évolution.

 

 
   

Alpha phenicien: lumière. Un son qui s'associait à tout ce qui pouvait éclairer : Soleil, feu, intelligence terrestre ou cosmique. Un son qui était représenté par un œil vu de face au début, avant d’être surnommé celui qui voit tout, la représentation de l’œil de la cigogne, la vision de An, de la lumière créatrice, dont les pharaons s’en maquillaient les yeux. Un graphisme qui fut simplifié par un œil de profil que les phéniciens ou hébreux reprirent sous l’appellation Aleph, avant que les grecs le représentent à la verticale – A - comme cela est toujours le cas de nos jours. Un mot dont on s'apercevra peu après qu'il signifiait en langue originelle « la lumière (A) du raisonnement (L) céleste (E) et de la création (P) suprême (H) ». Ce qui correspond bien à la spécificité du An, à sa clarté suprême, celle d’un œil très inspiré.

 

Un son A – lumière - qui fut donc à l'origine de toutes les créations, annonçant le signe suivant qui devait y correspondre ; le B.

B p creation 2Rune thornB : création « élaboration ou construction ». Tout concept ou bâtisse étant aussi des créations. Une barre représentant le corps (photo 1) avec un rond au milieu pour signifier celui d'une femme enceinte ; symbole de fertilité et donc de création.

Un symbole initial que l’on retrouve dans plusieurs civilisations différentes, porté par les représentations de l’intelligence céleste, telle qu’Ishtar (photo 2). Une personne dont son existence était liée à l’intelligence créatrice, tout comme l’oiseau Ba (photo 3) en Egypte. La constellation de l’oiseau (du cygne) qui fut à l’origine de la création (B) de la lumière (A).

Un symbole que l’on retrouve dans les Runes, l’alphabet nordique, à la troisième lettre Thurisaz (photo ci-contre) mais qui était nommée Þorn (Thorn) en anglo-saxon et Þurs (Thurs) en vieux norrois. Une Rune thorn qui le devint sous le mot Born ; naitre en anglais.

Un signe qui connut néanmoins beaucoup de métamorphoses. D'une barre avec le rond au milieu cela était devenu une barre plus longue vers le haut - le b - puis vers là-bas - le p - avant qui le devint par la suite en V, la position de la femme quand elle procrée ; une nouvelle façon d'exprimer la création. Un son B qui se prononce toujours V en espagnol, et que l'on retrouve aussi sous ses deux formes B et V juxtaposés en français dans le mot Lefebvre par exemple. Une répétition du même son mais que l’on ne prononce qu’une fois.

Une explication dans le changement de prononciation qui peut être expliqué par le travail effectué par une équipe de chercheurs sur l’évolution de la mâchoire chez notre espèce. Pour exemple des lettres « F » ou « V » qu’ils ne peuvent se prononcer qu’en plaçant ses incisives supérieures contre sa lèvre inférieure ; des consonnes labio-dentales. Une position de la bouche qui nous semble naturelle aujourd’hui, qui ne pose aucun problème pour prononcer ces consommes, mais qui pourtant ne l’était pas de même auparavant. Surtout quand nos ancêtres n’étaient encore que des chasseurs. Une peau d’animal dans laquelle ils avaient du mal à mordre, d’autant plus qu’ils ne la faisaient pas cuire encore, et qui leur occasionnait des incisives supérieures bord à bord avec les inférieures. Une configuration qui est typique pour les mâchoires qui doivent continuellement mâcher de la viande solide.

Une structure dentaire qui s’était finalement modifiée, des incisives supérieures légèrement en avant par rapport aux inférieures, parce que les mâchoires en furent moins sollicitées avec l’arrivée de l’agriculture et la viande cuite. Une nouvelle configuration qui prit le nom de supraclusion et qui avait entrainé un mouvement plus aisé de la bouche grâce à une lèvre inférieure devenue plus proche.

De la lumière A (intelligence céleste) était née sa première création B - l’univers- ainsi que sa premiere représentation terrestre, le site d'observatoire céleste Deltade Gobekli Tepe, duquel avait été issue la première astrologie à partir des douze portes D.

D : signe, porte, niveau ou degré. Un son D que les grecs ajustèrent à la forme des pyramides d’Egypte, devenu sous le nom de deltaGobekli tepe, parce qu’elles étaient assimilées à des portes (D) célestes. Une forme qui vient du champ de vision utilisé dans le premier observatoire solaire terrestre, celui de Gobekli Tepe pour visionner l’univers en se servant des piliers surnommés les portes célestes, car ce fut en se servant de ceux-ci comme repère qu’ils visionnaient l’univers, ainsi que les espaces entre ceux-ci, dits des fenêtres, avant d’en établir le cycle solaire et la toute première astrologie spirituelle.

Une forme en cône qui pourrait s'apparenter de même à celle d'un volcan en éruption car il représente aussi une lumière qui renaît de ses cendres comme cela fut le cas pour le An et l’émergence de l’intelligence chez l'homme ; la récupération de sa conscience.

 

Tablette 1 de Thot – l’histoire de Thot l’Atlante : J'ai construit la Grande pyramide en m'inspirant de la pyramide naturelle des forces de la terre afin qu'elle brûle éternellement et qu'elle demeure à travers les âges.

Une force naturelle de la Terre qui en désignait un volcan en éruption, avec sa lave (lumière) qui renait de ses cendres, et sa forme conique qui en définissait celle d’où renait toute lumière. Une version qui en deviendra à l’origine d’une confusion des millénaires plus tard, et qui poussa Moïse à amener les hébreux aux pieds d’un volcan en éruption lors de l’exode.

Chapitre 71 du livre d'Enoch :

Verset 2. Voici la première loi des luminaires. Le soleil, flambeau du jour, sort des portes du ciel, situées à l’orient, et se couche à l’opposé, par les portes du ciel qui sont à l’occident.  3. J’aperçus six portes, par où le soleil commence sa carrière, et six portes par où il la finit.  4. Par ces mêmes portes la lune sort et entre également, et je vis ces princes des luminaires, avec les astres qui les précédent, les six portes de leur lever, les six portes de leur coucher.  5. Toutes ces portes se trouvent l’une après l’autre dans le même alignement, et à droite et à gauche se trouvent pratiquées des fenêtres.  6. D’abord on voit s’avancer le grand luminaire, qu’on appelle soleil, dont l’orbite est comme l’orbite du ciel, et qui est tout resplendissant de feu et de flammes.  7. Le vent chasse le char sur lequel il est monté.  8. Mais bientôt il s’incline vers le nord pour s’avancer vers l’orient ; il tourne en passant par cette porte, il éclaire cette partie du ciel.  9. C’est ainsi qu’il s’annonce dans sa carrière le premier mois

Une lumière (A) qui fit donc naître (B) duquel était issu (D) pour apporter un caractère cosmique (E) à cette création.

SpiraleE : cosmique ou céleste. Une lettre E qui symbolisait la spirale céleste, Le dessin que forme l’univers. Un cosmique qui symbolisait aussi l’intelligence céleste – la logique absolue – qui ne s’obtient qu’à la suite de trois élévations dans le monde des lumières.

 

 

Une venue de l’intelligence, la lumière (A), qui permit de créer l’observatoire solaire, la construction ou création (B), à partir de laquelle ils purent observer le ciel grâce aux douze portes (D), qui permirent d’établir un premier plan de l’univers (E), sur Terre (G).

G : Terre. Géologie : étude de la terre. Géographie : graphisme de la terre. Genèse : première divinité spirituelle sur terre.

Un tout A B D E G qui finissait par engendrer la suprématie mentale H.

Gobekli tepe 3H : suprême, suprématie. Tout ce qui est de plus élevé. Une lettre qui existait sous cette forme dès le début. Il représente la position d’une personne debout sur la pointe des pieds les deux bras en l'air pour s’étendre au plus haut afin d’exprimer ce qu’il y a de plus élevé, tel celui qu'on voit sur un pilier de Gobekli Tépé dont sa datation est évaluée à – 9000 ans avant JC (photo).

Des lettres qui avaient été calquées pour la plupart sur le gestuel ou une partie du corps.

 

Une lettre H qui fut rajouté au P par la suite (deuxième symbole qui exprimait la création) pour spécifier un caractère suprême à cette création (construction). Ph pour temple suprême par exemple ou maison de Dieu. Le P pour construction et le H pour son caractère suprême. Une syllabe Ph qui finit par se prononçait feu avant de le devenir sous une seule forme abrégée en Egypte ; le F.

On pouvait donc se retrouver avec Phar ou Far, deux mots qui se prononçaient de la même façon, qui ne s'écrivaient pas de même manière, qui ne représentaient pas tout à fait la même chose, même si leurs syllabes étaient composées de sons similaires.

Far : F étant égal à Ph. P pour construction (temple) suprême (H) qui éclaire l’esprit (Ar). Un mot Far qui servait à désigner un édifice religieux. Un titre égyptien original de Faraon qui fut traduit par Pharaon en grec. Le dignitaire (Aon) « de lumière A de l’élévation U primordiale N » de la maison de Dieu (Phar) ; pharaon.

Néanmoins, une méprise des grecs sur la traduction des syllabes est fort possible, car la syllabe Phar servait aussi à designer tout édifice élevé autre que religieux.

Phar : P pour construction, H pour exprimer un caractère très élevé, accompagné des sons lumière A et esprit R. Une construction très élevée pour éclairer les esprits, en sous-entendu ceux des marins pour les guider la nuit ; un phare maritime.

Une lettre F qui avait été créé uniquement pour désigner les créations associées au divin afin de les différencier des autres constructions élevées ; Ph.

Une suprématie mentale H, pour donner suite à A B D E G, à la source de la réincarnation de l'esprit.

I : incarnation ou réincarnation.

Un point séparé de la barre pour désigner un esprit qui en était devenu plus élevé qu'auparavant. Un peu plus détaché du corps ; de la barre. Un terme de réincarnation qui exprimait le passage d'une vision à l'autre au fur et à mesure de l’évolution mentale. Une mutation mentale – réincarnation - qui ne s’effectue que de son vivant. Mais comme on ne peut pas mener la même vie selon la façon qu’on a de voir les choses, qu’elle se modifie après chaque réincarnation - évolution mentale - cela avait été mal compris pour croire en des vies différentes qu’on ne pourrait mener qu’après des décès successifs. Un terme d’incarnation qui était aussi utilisé pour désigner une personne, telle que l’on en fait usage encore aujourd’hui. Celui qui incarne un rôle.

Ka egyptien 1Une réincarnation vers la suprématie mentale qui ne peut pas s’obtenir sans une renaissance de sa lumière intérieure de ses cendres. Obtenir le religio (entre en accord avec soi-même) ou le religare (être relié à soi-même), la récupération de la conscience de soi. Faire renaître (K) sa lumière intérieure (A) de ses cendres, si on voudrait s’élever (U) mentalement. D’où le fait que le Ka = U.

 

Aleph kaph 1K : naître ou renaître. Une lettre dont son origine peut avoir deux significations. Elle pouvait représenter une personne de profil avec les bras qui font signe de bas vers le haut symbolisant le passage de la bassesse vers l’élévation, la récupération de sa conscience qui permet la bascule du monde obscur vers celui des lumières, de l’inculte vers l’intelligence, ou une vision d’Aleph en hébreux (lumière) retrouvée puisque le K symbolise la récupération de celle intérieure, de sa conscience.

 

KaabaTabernacleUn nom de Kaba, à l’origine du courant de la Kabale pour les hébreux, ou du peuple kabyle, plus connue comme la construction de la Mecque pour les musulmans, et qui signifiait donc l’élévation (Ka) vers la lumière de la création (Ba) ; la seule éducation qui permet d’aligner son esprit avec celui de l’oiseau céleste, qui éduque l’élévation vers la vision de Dieu, de la logique suprême. La Kaba (photo 1), construction recouverte de tissus tout comme l’était le tabernacle juif (Photo 2).

 

Une lumière A qui avait donc créé B qui avec D put établir le plan de E sur G où le H put enfin se révéler grâce à I à la suite de K pour amener L, une meilleure compréhension des choses, le raisonnement.

Lettre l egypteL : la compréhension ou le raisonnement. La seule méthode qui apporte la droiture, qu’elle soit spirituelle ou en rapport à la posture. Une locution « Marcher droit » qui s’accommode d’autant à ces deux pratiques puisque leurs enseignements ont été initiés dans le même temps. Une droiture du corps qui fut associée à celle d’un esprit qui détient la compréhension. Une lettre L qui était représentée par la canne en Egypte antique, le premier support que l’homme utilisât pour obtenir une position droite parfaite. D’où l’aphorisme « être droit comme la justice ». Un raisonnement – la logique - qu'il faut parvenir à maîtriser si on voudrait finir de s’élever mentalement.

NounLe WM : maîtrise ou maître. Un espace que les anciens appelaient les eaux de dessus ou océan primordial (photo Noun en Egypte). Noun : Noun était plus qu'un océan, il était un vaste étendu d'eau immobile qui continua à exister même après la création pour revenir à la fin tout détruire avant de recommencer un nouveau cycle.

 Genèse 1/7 : Et Dieu fit l'étendue, et il sépara les eaux qui sont au-dessous de l'étendue d'avec les eaux qui sont au-dessus de l'étendue. Et cela fut ainsi.

Enuma Elish (bible sumérienne) : Les eaux d'Apsû se mêlèrent à celles de Tiamat, l'océan d'eau salée, pour former Mummu, les vagues, ainsi que le couple primordial, Lahmu et Lahamu.

Quiconque en connaitrait donc les secrets du fonctionnement de l’océan cosmique, son principe de cause et effet, de flux et reflux, en obtiendrait sa maitrise. Une lettre M qui vient de la forme des vagues, du sac et ressac, à l‘origine des vagues à l’âme, causes et effets de l’océan primordial, et qui en signifiait leur maitrise.

Une maîtrise qui nous permet de comprendre comment fonctionne les réactions en chaîne de la logique ; de l’induction de l’océan primordial.

Proto semiticn 01 png 1Phoeniciann 01N : premier ou primordial. Une lettre dont sa forme représentait le vol d’un volatile, en écriture antérieure au proto sémitique à gauche – en langue de l’oiseau originale – qui représentait donc le lieu où il était supposé le début de la création - la constellation du cygne - avant que sa forme en devienne plus proche du N en phénicien (Photo 2).

 

Obtenir donc un esprit - R – grâce à l’éducation spirituelle – S – qui permet la récupération de sa conscience - T - avant que s’entame l’élévation – U - vers la connaissance ou le savoir suprême - Z.

RhoR : Rho (Rhu) en phénicien qui signifiait esprit ou tête. Sauf, qu’en langue de l’oiseau cela exprimait l’esprit (R) le plus élevé (H) dans l’élévation (U) ; l’intelligence suprême. Ce qui avait amené l’expression avoir une grosse tête. Un corps de profil, la barre, avec une petite barre pour le bras (Photo 1), et un grand rond pour la grosse tête, avant que la barre du bras devienne plus longue (photo 2).

 

 

Serpent a plumes amerindiensSerpent educationSerpent sumerienS : Education ou spiritualité. Un signe qui représente le serpent, un animal qui doit muer pour grandir, avant d’en déduire de même pour l'esprit. Une mue de l’esprit dont seule l’éducation spirituelle - S – en permet son élévation. Une mue de la voix pour qu'elle devienne plus élevée. Ainsi que l’expression « être mûr » après avoir réussi à muer. Une éducation qui devait élever son esprit, le faire muer (serpent) vers l'esprit de l'oiseau (Plumes). Un serpent à plumes qui en était donc la symbolique de l'éducation de l'intelligence, la seule à permettre de tout comprendre et amener donc l'agriculture; la fertilité.

 

ApophisSauf, qu’il existait deux catégories de serpents – d’éducations. Toutes celles qui sont nocives, tous les enseignements vénéneux qui n’apportent pas la vraie connaissance, qui ne contribuent qu’à faire muer l’esprit dans le mauvais sens. L’éducation des manipulateurs que les égyptiens appelaient Apophis (photo 1), le serpent de ténèbres pour ne développer que l’obscurantisme, pendant que les grecs les nommaient Ophiuchus, ou serpentaires pour les romains.

 

 

Des mues « éducation spirituelle de la maitrise céleste » qui en désignaient donc chaque passage d’une vision à l’autre dans une astrologie qui se définissait de douze mues qui furent traduites par le mot mois « incarnation spirituelle de la maitrise de l’élévation ». Un U qui se prononçait O lorsqu’il ne portait pas d’accent, quand il exprimait maîtrise de toutes les élévations ; un cycle complet.

T : conscience ou vérité.

Cygne 1Cygnus constellationUn signe dont sa forme est en rapport à la constellation du cygne qui se présente comme une grande croix céleste, mais qui était dite celle de la cigogne auparavant, symbole de la lumière primordiale (An), le lieu qui était supposé à l’origine de la création de l’univers.

Viser la constellation de la cigogne était donc pour eux comme s’orienter vers la lumière primordiale, celle créatrice. Une constellation qui était considérée à l’origine de l’intelligence céleste et que l’on ne pourrait pas atteindre sans traverser celle du renard auparavant ; d’où l’association du renard avec la plus grande intelligence.

Croix de ankhOiseau anzuUne étoile de la cigogne qui était appelée – la croix du ciel - dite aussi celle d’Ankh, que les sumériens nommaient l’oiseau Anzu « An pour lumière primordiale, et Zü pour savoir et élévation », l’étoile originelle à la source du savoir et de toutes créations.

Crucifier ou circoncire son âme consistait donc à faire renaitre sa lumière intérieure de ses cendres – récupérer sa conscience – de façon à parvenir à élever son esprit au plus haut (circonflexe) pour être parvenu à le jumeler avec l’étoile à l’origine de la création, celle qui représente l’intelligence céleste, l’étoile la plus brillante de la constellation de la cigogne (du cygne) ; de la croix d’Ankh.

Aile de cigogneUne constellation représentée par ses ailes qu'Isis portaient.

 

 

Ka egypte 1IsisU : élévation.

Il représente le geste des deux bras qu'on lève au ciel pour faire signe de soulever. Up en anglais pour désigner l'élévation. D’où son rapport avec le Ka en Égypte antique – les deux bras en l'air - puisque l’élévation U « spirituelle » n'est l'effet que d’une renaissance - K - de sa lumière – A - intérieure. Une élévation qui fut tout autant symbolisée par les cornes, surtout celles de la vache, parce qu’elles se présentent sous la même forme que le U, tel qu’on le voit sur la photo d’Isis.

Porter le U sur la tête, qu’il soit symbolisé par les deux bras ou les cornes, signifiait la détention d’un esprit élevé, très intelligent.

 

 

Z : connaissance ou savoir.

Zayin en hébreu. Une lettre qui exprimait le sexe. Sauf, qu’à l’origine ce n’était pas un terme déterminatif assujetti uniquement à l’attribut sexuel, mais à tout ce qui donnait vie. Un chef d’un clan en était son sexe pour lui avoir donner vie en le constituant. L’âme en était aussi un car elle apporte la vie, avant qu’il en soit de même pour la connaissance puisque rien ne pouvait prendre vie sans la détenir, que ce soit l’agriculture que les sciences ou autres.

Seize sons de bases qui sont à l’origine de toutes les langues sur terre, mais dont leur sens et prononciation variait selon l'accent qu’ils portaient.

Accent aiguë : une flèche vers le haut qui exprimait un acte en train de se produire mais qui n'était pas encore parvenu à son terme.

Accent circonflexe : une flèche vers le ciel, remplacé certaines fois par le tréma, qui exprimait un acte parvenu à son terme.

Accent grave : une flèche vers le bas qui exprimait la négation. D’où son appellation de grave. Quelque chose qui n’apporte pas le bien ou qui ne sait pas encore réaliser.

Un son U – élévation - qu'on va utiliser pour saisir correctement la signification des accents.

Serpent qui se mord la queueLe U sans accent exprimait juste l’élévation et se prononçait O. C’est pour cela d’ailleurs que le signe O n'existait pas au début. Néanmoins ce fut de cette prononciation O que l’élévation en était devenue à s’exprimer ainsi. Quand on s’élève « U » c’est uniquement vers le O « haut », la plus haute (H) lumière (A) qui s'élève (U) de la conscience (T).

Une forme de la lettre U qui en devint O par la suite, mais uniquement pour exprimer une élévation arrivée à son terme, car on ne peut obtenir la totalité des élévations qu’une fois parvenu à maitriser l’ensemble des signes de l’astrologie spirituelle, qu’on est arrivé à maitriser un cycle complet, fermé la boucle, et que l’on maitrise la caractéristique cyclique de l‘intelligence ; O (photo du serpent, l’éducation, qui se mord la queue, qui est cyclique). Une renaissance (K) vers l’élévation suprême (Û) – Kû – qui en devint aussi sous la forme de Q une fois ce même cycle bouclé.

Le U avec accent aigue, une élévation en train de se parfaire, qui n’est pas encore arrivée à terme, qui se traduisait donc par – qui s’élève – se prononçait U, avant d’en devenir à l’origine du mot dessus pour tout ce qui va vers le haut.

Le U avec accent grave - la négation - se prononçait Ou, avant d’amener le mot dessous pour désigner tout ce qui ne s’est pas élevé, qui se trouve au niveau le plus bas.

Le Û avec accent circonflexe - une élévation parvenue à son terme - qui se prononçait Ui, en désignait une élévation U qui s’est déjà réincarnée I. Une prononciation Ui à laquelle le tréma fut préféré par la suite, au dépend de l’accent circonflexe, afin de mieux comprendre l’élocution du I - incarnation - qui est venu se rajouter au U – l’élévation.

Un mot circoncire qui était d’ailleurs associé à circonflexe. Un esprit qui s’en retrouvait circoncis qu’à condition d’être parvenu à l’élever au maximum. Un sexe – esprit - débarrassé de sa coquille, de ses cendres qui assombrissaient sa lumière intérieure, sans cela il ne pourrait pas s’élever vers Dieu, vers la vision de la logique suprême.

Des accents qui étaient d'une grande importance puisqu’ils pouvaient modifier totalement le sens du mot et sa façon de le prononcer, surtout lors des traductions.

Un mot Lû, accent circonflexe sur le U, qui se prononçait donc Lui, qui exprimait le raisonnement (L) de l’élévation suprême (Û) - l'intelligence - alors que le même mot Lù, mais avec accent grave sur le U, se prononçant donc Lou, un raisonnement de l’élévation non acquise, en exprimait l'ignorance. Deux qualifications totalement contradictoires pour le même mot à cause d’une différence d’accent.

Un mot Lû qui fut donc traduit par Lui la première fois en rapport à son élocution. Un U qui s'était finalement retrouvé sans accent par la suite, qui se disait O dans cet état, et qui fit naitre le mot Loi en deuxième main.

Un mot Loi qui en était donc la traduction du raisonnement logique. Un terme qui n’était pas directement lié à un règlement quelconque, mais à la seule intellection qu'il faut obligatoirement détenir pour établir de véritables règles sociales, tout en restant le mieux placé pour en être le gardien. Eviter que celles-ci ne soient dénaturées par des êtres occultes, par des personnes qui ne détiennent pas la logique puisqu’ils occultent la vérité, et qui engendreraient donc le mal à la place du bien ; l'occultisme.

Ne devient réellement intelligent et humain que celui dont son comportement et son raisonnement en deviennent conformes à la loi, à la logique.

« Je suis celui qui suis » la phrase qui aurait été prononcée par l’éternel à Moïse. Il était lui – la loi – l’intelligence suprême. Un mot Lû auquel il lui fut rajouté le I par la suite – Ilû - l’incarnation (I) de l’intelligence suprême (Lû), celui qui incarne la vision Dieu, qui détient la vision de la logique, avant que cela devienne sous les mots Elu ou Elie qui furent traduit trop rapidement par Dieu en hébreux.

Ilû était donc le nom donné à la personne, l’incarnation (I) qui détenait le raisonnement logique (lû), la Loi ou l’intelligence suprême. Une acquisition qui ne dépendait pas des urnes, mais uniquement de la conscience de soi. On pouvait donc être un élu sans être issu d’une quelconque élection, ni détenir de fonction de dirigeant, mais juste parce qu’on détenait l’intelligence de Dieu, la vision qui s’est élevé au cosmique, la seule qui se jumelle avec celle céleste jusqu’en détenir les mêmes propriétés, notamment celle d’éternité.

Un Ilû qui était donc une personne qui détient le raisonnement logique - la vision Dieu – la plus grande intelligence, pour être parvenu à faire renaître sa lumière intérieure - conscience – de ses cendres. Ne plus détenir d’inconscience. Un terme d’élu qui n’avait encore rapport avec une quelconque élection tel qu’on le sous-entend de nos jours.

Des ancêtres qui avaient finalement un sens du réalisme beaucoup plus développé que tous ceux d’aujourd’hui, puisqu’il est évident à comprendre qu’il est totalement impossible de passer du statut d’imbécile à celui de génie par le seul fait de sortir gagnant des urnes. Une intelligence qui n’est associée qu’à la conscience de soi.

Une langue de l’oiseau, de la création, dont la définition des syllabes en était l'effet de tous les sons qui la composaient, peu importe leur ordre, puisqu’ils étaient le plus souvent agencés de façon à en faciliter leur prononciation. On pouvait dire « il est beau » comme « beau il est », primordial céleste « Ne » tout comme céleste primordiale « En ». Se lire aussi bien à l'envers qu'à l'endroit. Une orientation de lecture dans les hiéroglyphes qui était précisée par le regard du personnage. Un mot Néfer, comme dans Néfertiti, qui pouvait aussi bien s’énoncer Enfertiti. Une syllabe « En » qui en était l'anagramme de « Ne » tout en voulant dire la même chose.

Un langage dans lequel on pouvait dire « la voiture rouge » comme en français, ou rouge est la voiture (red’s car) tel que cela se prononce en anglais.

Dans le cas d’une répétition d’une même lettre séparée d’une autre, comme dans Utu ou Igi à Sumer, la deuxième lettre exprimait ce qui été apparu après la première. Dans Utu la deuxième élévation (U) correspondait à celle venue après la première élévation dans la conscience (Ut), la deuxième lumière qui était apparue après la première. Un mot Utu qui définissait donc le soleil qui s’était élevé après le An, après la lumière primordiale à l’origine de toutes les autres. Une façon similaire de pratiquer avec le mot Igi. Un deuxième I qui définissait la deuxième incarnation (I) terrestre (G), celle des incultes, venus après celle des animaux.

Mythe aztèque : Puis les dieux créèrent les animaux, et Gucumatz et Tepeu tentèrent de façonner des humains avec de la boue ; ce fut une déception car ces hommes étaient ; incapables de parler et d'adorer leurs créateurs. Lorsque la boue sécha, ils tombèrent en poussière et le monde fut détruit par une inondation. Puis les dieux fabriquèrent les hommes avec du bois et les femmes avec du jonc. Incapables de se mouvoir, ils pouvaient parler, mais étaient idiots. Pervertis, ils durent être détruits. Les survivants devinrent les singes. Finalement, les dieux façonnèrent les hommes avec de la pâte de maïs blanc et jaune. Lorsque le soleil se leva sur le premier jour de cette création, les hommes étaient de chair. Intelligents, ils reconnaissaient leurs créateurs et les adoraient, mais ils étaient trop bien informés.

Une syllabe In qui signifiait l’incarnation (I) première (N), la première chose que l'on montrait, et qui se définissait par « il est » ou « elle est », « celui-ci » ou « celle-là », car il n'existait pas de féminin ou masculin au départ, que des pronoms impersonnels comme le sont toujours « je tu vous et nous » aujourd’hui. Des anciens qui ne faisaient pas de différence entre les sexes pour les considérer de même.

InriUne racine In qui pouvait tout autant se retrouver à la tête d’un mot tout comme à sa fin. Alors que dans Divin elle se trouve à la fin il en est le contraire dans INRI sur la croix de Jésus « il est (In) l’esprit (R) de la réincarnation (I) », ou INTI chez les incas (photo 2) « elle est (In) la conscience (T) réincarnée (I) ». Deux mots qui signifiaient le même état d'esprit. Une récupération de sa conscience sans laquelle aucune bascule de l'obscurantisme vers l’esprit des lumières n’est envisageable.

Une racine In qui fut souvent intégré à la syllabe Nin « Il ou elle est (In) le premier (N) », traduit par sénior, le plus vieux, avant que cela se transforme en seigneur, voire prince. Un mot prince qui signifiait le premier, à l’origine du mot principal, ce que l’on doit faire en premier. Une racine Nin qu’on retrouve par exemple à Sumer dans Ninurta « le premier (Nin) qui élevât (U) son esprit (R) vers la conscience (T) de la lumière (A) », le premier à être devenu intelligent.

Des personnes qui ne portaient pas des prénoms tels qu’on les entend de nos jours. Ils étaient nommés selon leur lieu de villégiature, leurs compétences, ou vécus. D’où le fait qu’ils pouvaient être nommés de plusieurs façons pendant le cours de leur vie. Une même personne pouvait être à la fois le premier intelligent - Ninur – tout en étant aussi celui qui incarne (I) la maitrise (M) de la plus haute (H) élévation (U) de la conscience (T) céleste (E) de la création (P) - l’Imhotep – ou la mère (Am) de la lumière de la création (Ab) et de l’esprit de la lumière suprême (Rah) - l’Abraham – celle qui avait épousé la religion de Sara. Un terme qui vient de Sarno (Sarnu) « l’éducation (S) de la lumière (A) de l’esprit (R) de l’élévation primordiale (Un) ».

Abraham qui avait épousé Sara de la même manière qu’un marin épouse la mer ou un curé qui épouserait la religion de Jésus, puisque Sara n’était pas une personne mais un nom donné à l’éducation religieuse de laquelle était né Ri (Isaac), l’esprit (R) de la réincarnation (I), puisque c’est l’effet que cet enseignement doit amener. Un esprit qui se réincarne vers la lumière. Mais un enfant qui fut appelé Ri parce que Sara aurait soi-disant ri quand elle sut qu’elle allait enfanter.

Genèse 13/18 : Le Seigneur Dieu dit à Abraham : « Pourquoi Sara a-t-elle ri, en disant : “Est-ce que vraiment j’aurais un enfant, vieille comme je suis ?

Isaac (en hébreu : יצחק (SBL) Yiṣḥāq ; (API) /jisˤħa : q/ : « il rira ». Un mot Isaac « l’incarnation (I) spirituelle (S) de la lumière (A) de la renaissance (K) ». Une lumière de la renaissance qui en est aussi un esprit (R) qui s’est réincarné (I) ; Ri.

Une élévation (U) primordiale (N) qui en est devenu aussi le nom du premier numéro - le Un - pour être aussi la première élévation dans les chiffres, ou la cité de On dans la bible (Héliopolis en grec) qui en fut l’élévation (U) première (N), la première cité qui fut érigée.

Une intelligence céleste qui se disait donc Dib aux prémisses. Une syllabe Di composé de D (niveau), I (incarnation), qui désignait le niveau d’incarnation mentale, puisqu’il est impossible à tout imbécile d’être doté du même point de vue que celui d’un intelligent. Une perception qui varie selon son niveau d’élévation sans jamais pouvoir atteindre celle de la création, celle du Dib « la vision (Di) de la création (B) ».

Le nom des joursUne syllabe Di qu'on interprète toujours ainsi dans le nom des jours. Lundi : vison de la lune. Mardi : vision de Mars. Mercredi : vision de Mercure. Jeudi : vision de Jupiter. Vendredi : vision de Vénus. Samedi : vision de Saturne (Saturday en anglais). Dimanche : vision du sol invictus (soleil ou lumière invaincue - Sunday en anglais).

Un mot Dib au début avant que le B soit remplacé par le V auquel il lui fut rajouté la racine (In) pour amener le mot divin qui se traduisait par « elle est (In) la vision (Di) de la création (V) ». Une référence unique à l’intelligence céleste - la logique absolue – la seule intellection dans l’univers qui n’a pas besoin de s’élever jusqu’à la suprématie pour l’être déjà au naturel. Un mot dans lequel le U – l’élévation – en était exempt, puisqu'il n'avait aucune raison d’être dans ce cas précis.

Une interprétation des sons dans les mots qui était d'une importance capitale pour en déchiffrer correctement leur sens. Si l’intelligence céleste est naturelle, il n'en est pas du tout pareil de celle terrestre qui ne s’obtint qu’après une élévation.

Une vision terrestre, sans accointance directe avec le divin, qui héritât d'un autre nom plus approprié à la place ; le Dius « la vision (Di) de l'élévation (U) spirituelle (S) ». Une intelligence humaine qui dépend uniquement de cette éducation mentale spéciale. Un Dius qui devint sous le nom de Dies « la vision (Di) de l’éducation cosmique (Es) », puis Dieu « la vision (Di) qui s'est élevé au cosmique (Eu) ».

Un mot Dieu qui exprimait donc la plus grande vision de l’intelligence sur terre, l’unique qui se jumelle avec le divin - l'induction créatrice - capable de s'en approcher au plus près de cette logique cosmique, mais sans jamais pouvoir l’égaler et encore moins la supplanter.

Une langue de l’oiseau qui n’était pas infaillible à cause de son absence de terme spécifique. La possibilité de nommer une même chose de différentes manières, surtout quand on sait que cela suffit aux incultes pour qu’ils ne s’imaginent plus en présence de choses semblables.

Si le mot Lû - loi - désignait l’intelligence dans le passé, l’état d’esprit qui la détenait pouvait tout autant se prononcer Râ ou Rû, avec accent circonflexe ou tréma à chaque fois.

  • Râ « un esprit (R) avec une lumière déjà réincarnée (Â) », plus connu sous le sobriquet d’esprit des lumières, qui se prononçait Rai, avant qu’il y soit rajouté le caractère spirituel S. Une traduction qui le devint en arabe sous la prononciation de Raïs.
  • Rû « un esprit (R) avec une élévation déjà acquise (Û) », un esprit qui a atteint le niveau suprême, qui se prononçait donc Rui, subit le même sort que Lû en étant traduit successivement en Rui puis Roi.

Des termes de Roi ou Raïs qui n’étaient pas associés à un titre quelconque au début, mais juste à un état d’esprit, celui qui représente l’intelligence ; la loi.  

Une syllabe Ui, une élévation U déjà réincarnée I, qui fut remplacé par le I grec – Y - par la suite, le U superposé sur le I pour faire plus court, et qui apportât la traduction de Roy en anglais au mot Rû après qu’il fut traduit par Rui.

Des mots Roy, Roi ou Raïs qui dérivent tous de la même langue, celle de l’oiseau, et qui veulent tous dire la même chose.

Deux termes qui devinrent différents d’une civilisation à l’autre alors qu’ils exprimaient la même chose, issus pourtant du même langage initial, celui de la création, mais qui finirent par en devenir déterminatifs chacun dans leur coin. Finir par faire croire qu’ils n’en seraient pas issus de la même racine pour ne plus se ressembler, l’illusion en des langues différentes, comme si aucun lien n’aurait jamais existé entre elles.  

D’autant plus que les syllabes évoluèrent avec le temps, de façons différentes d’un lieu à l’autre, pour rendre plus simples et plus rapides leur écriture. Substituer progressivement deux signes qui les composaient par un nouveau signe unique, tel le Y qui était venu suppléer le I et le U en les superposant. Des nouveaux signes dont leur prononciation en restait la même que la syllabe qu’ils remplaçaient.     

Ce fut ainsi que la syllabe Uâ « l’élévation (U) vers la lumière suprême (A) » comme dans Duât, en était devenu sous la seule lettre W. Un mot Duât qui s’était retrouvé transcrit sous sa nouvelle forme – Dwt - composé uniquement de consonnes, mais dont le W continuait à se prononcer de la même façon que la syllabe Uâ qu'il remplaçait, comme dans Waterloo (Uaterloo).

Des nouveaux signes dont on ne pouvait pas en connaître leur prononciation tant qu’on ne savait pas les syllabes qu’ils remplaçaient.  

Un mot Dwt, se prononçant Duât, qui exprimait « les degrés (D) d’élévation (U) vers la lumière (A) de la conscience (T) », qui correspondaient donc aux différents niveaux d’élévations spirituels dans l’éducation religieuse, avait été traduit par David en Hébreux. Un mot David qui n’était pas le prénom d’une personne au départ mais un des surnoms donnés par Amenhotep 3 à l’éducation religieuse vers – 1380 avant JC - l’Amdouat – la religion de la mère (Am) des portes (D) d’élévation (U) vers la lumière (A) de la conscience (T).

W 1Un W qui vient aussi du même signe – la vague ou lunaison – d'où le M en fut déjà issu. Un M qui exprimerait donc la maitrise complète de toutes les visions, pendant que le W en désignerait que la syllabe Uâ qu’il remplace, l’élévation (U) vers la lumière suprême (Â), tout en reprenant sa prononciation. Un W qui n’exprimait que la maitrise des visions supérieures.

 

 

 

Une même façon de procéder avec le J qui était venu en substitution de la syllabe Iê – l’incarnation cosmique – et qui s'énonçait de même manière comme dans Jésus – Iêsus. Un mot Jésus qui devait donc signifier l’incarnation (I) céleste (E) de l’éducation spirituelle (Us) ; l’intelligence suprême.

Une syllabe Ch est venu à la place du Kh - la renaissance (K) suprême (H) – comme dans Cham « la mère (lumière (A) maitresse (M)) de la renaissance (C) suprême (H) ».

Un X qui semble venir en remplacement de la syllabe Ks « l’éducation de la renaissance » - la religion – à cause de sa prononciation qui doit reprendre obligatoirement celle de la syllabe à laquelle elle se substitue. Pour exemple du mot extrême dans le X donne l’impression d’être prononcé « ek-strème ». Sauf, que l’on retrouve aussi le X dans une prononciation qui se rapproche plus du Kz « la naissance du savoir », comme dans exégèse ; Ek- zégèse. Une exégèse qui en serait le récit de la naissance du savoir et de l’intelligence sur Terre.

Un mot Yhwh qui viendrait donc de Iu, I pour incarnation et U pour élévation, remplacé par la lettre Y par les grecs, pendant que la syllabe Ua fut remplacé par W. Un mot qui devait donc se prononçait Iuhuah : l’élévation (U) qui s’est réincarnée (I) vers la plus haute (H) lumière (A) suprême (H). Ce qui exprimait la plus grande intelligence terrestre – la logique suprême – dite aussi la vision Dieu pour être la seule qui s’est élève au cosmique.

Un mot Yhwh qui avait été écrit en plus simple en Egypte – Yah – l’élévation (U) qui s’est réincarnée (I) vers la lumière (A) suprême (H). Un mot Yah qui représentait exactement la même chose que Yhwh, la plus grande intelligence terrestre ou vision Dieu.

Tout comme le mot christ (krist) dont on en retrouve les mêmes racines dans Krishna, qui s’écrivait Kristu chez les slaves ou Krst en Egypte « l’éducation de la renaissance de l’esprit vers la conscience » n’était pas le nom donné à une personne mais celui de l’éducation religieuse. Ce qui explique pourquoi Marie, qui était une vraie personne, avait fait naitre le christ, l’éducation religieuse, sans avoir besoin de s’accoupler avec quiconque, mais en utilisant uniquement la vision Dieu ; le raisonnement de la logique. Un krist – religion - qui était née de l’association de Marie avec Dieu.

Des hébreux qui se faisaient appelés des B' NAI B' RITH, les fils de la lumière. B’NAI pour l’incarnation de lumière primordiale de la création, et B’RITH pour incarnation de l’esprit de conscience suprême de la création. Des personnes qui détenaient donc l’esprit le plus élevé de la conscience de la création – la logique suprême – qui émane de la lumière primordiale de la création – du An.

Le qUn Q qui était venu en remplacement de la syllabe Kû. Une renaissance (K) qui s’est élevée au plus haut (Û), qui maitrise le cycle complet de l’astrologie, et qui, comme le O qui représentait cet aboutissement, en est devenu inscrit de même. Sauf, que le Q, étant venu se substituer au Kû en récupérer sa prononciation.

Une répétition de la même lettre ou syllabe qui exprimait le pluriel. Nous pouvions donc avoir le mot Mât, la maitrise de la plus haute lumière de la conscience, la détention de la plus haute intelligence, ou Maât qui exprimait la maitrise de toutes les lumières, puisqu’il existe trois niveaux de voyance, la sainteté, la sagesse et le divinité. Une Maât qui en était le nom du seul règlement qui obéissait au fonctionnement des lumières.

Des définitions dont il est important de savoir ce qu’elles voulaient vraiment dire au début de façon à comprendre la pensée qui animait celle qui avait créé ce langage. Un son An – lumière primordiale – dont son sens en changé quand on lui rajouté le U – l’élévation. Un mot Ânu qui exprimait donc le jour, l’effet de la lumière de l’univers qui se lève. Un mot Diânu se traduisant par la vision (Di) du jour (Ânu), avant que les grecs l’expriment par le mot Diane dans leur langue, la lumière qui chasse l’obscur ; le diurne.

Nous avions donc deux sortes de personnes. L’Um, avec accent grave sur le U, une élévation négative, qui se prononçait donc Oum « celui qui ne s’est pas élevé vers la maîtrise » - l’inculte – et l’Ûmânu, celui qui s’est élevé au plus haut (Û) dans la maitrise (M) du jour (Ânu) », de la vision diurne - l’intelligent. Un mot Um (Oum) qui fut traduit par homme pendant qu’Ûmânu en devint celui d’humain.

Un humanisme qui n’était pas apparenté à l’espèce, puisque la nôtre en est celle de l’hominidé, mais uniquement à la personnalité de celui qui est parvenu à faire renaître sa lumière de ses cendres, devenu un phénix, un esprit qui s'est élevé jusqu'à se jumeler avec l'intelligence de l’oiseau céleste.

Une lumière – intelligence – qui s’était donc révélée la première fois vers 8800 ans avant JC dans l’esprit d’une personne surnommée l'Am pour la circonstance « la lumière (A) maitresse (M) » en sous-entendu terrestre, celle qui fut la première sur Terre, traduit par mère, à réunir les bases mentales à son acquisition, un langage assez développé pour analyser une conscience qu’elle avait su garder visible.

Un langage de l’intelligence qui avait succédé à celui de la connaissance qui avait déjà vu le jour presque deux milles ans auparavant selon la chronologie de la bible, qui semble se confirmer par les découvertes archéologiques, à l’origine de la cosmogonie - le récit de la création de l’univers - et de la genèse - l’histoire de la naissance de l’intelligence sur Terre - qui en fut à la base de la toute première civilisation ; l’égyptienne.

Une langue de l'oiseau que les romains tentèrent de réintaurer en essayant de reprendre les termes originaux. D'où le nom de latin qui veut dire " il est le raisonnement de la lumière de la conscience "; la logique.

Une langue de l'oiseau qui devait donc ramener la paix sur terre, apporter le seule enseignement qui humanise et qui rend intelligent, l'unique à mettre en place si on voudrait hériter d'une vraie civilisation. Un langage qui ne devait donc apporter que le bien et non le mal. D'où son apparentée avec la magie "ce qui incarne (I) la maitrise (M) de la lumière (A) sur Terre (G)". Une magie qu'il faut obligatoirment détenir pour exercer la justice, être un magi-strat.

Sauf que ce langage qui n'était pas déterminatif, et offrait donc la possibilité d'appeler une même chose par des multiples surnoms. Une éducation qui pouvait dire Sem, l'éducation (S) de la maitrise céleste (Em), ou Kust, l'éducation (S) de la renaissance (K) et l'élévation (U) vers la conscience (T). Un problème quand on sait qu'il suffit de nommer une chose de deux noms différents pour que les égocentriques ne s'imaginent plus en présence de la même chose. Des égyptiens qui avaient nommé la supernova du cygne par Ankh, la lumière primordiale de la naissance suprême, de la création, pendant que les sumériens l'avait plus simplement appelé An. Deux lettres en moins qui ont suffit pour faire croire qu'ils ne parlaient pas la même langue, parce qu'ils nommaient pas les choses de même manière.

D'où le mythe de Babel. alors qu'il parlaient tous la même langue celles-ci se mélangèrent au point de ne plus se comprendre les uns des autres.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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