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Une majorité qui a toujours tort.

La majorité

 

Une définition de la majorité qui reste quand même ambiguë, puisqu'elle en exprimerait le plus grand nombre de personnes, une association systématique avec un quantitatif, pendant qu'elle en désignerait tout autant un âge ; celui de la maturité. Une deuxième application qui ne se plie plus à du numérique. Une incohérence qui ne fléchit pas à de la logique, et qui, dans cette circonstance, ne devrait pas correspondre à du réalisme.

Une logique qui est implacable dans ce sens. Soi on est une chose ou son contraire, mais en aucun cas on ne peut être les deux en même temps.

Un langage qui avait été inventé aux alentours de 8800 ans avant JC, lorsqu'une personne en fut la première sur Terre à s'être aperçue que tout dans la nature répondait à la même systématique. Un déclic plus connu sous le nom de la révélation dans la bible. La découverte en une seule et unique intelligence – surnommée la lumière - qui est à l’origine du processus qui engendre toutes les créations. Une intellection qui n’apporte qu'une seule (Mono) vérité (Thème) valable pour tout de la même manière ; le monothéisme.

La révélation en l’existence de la logique et de son application monothéiste.

Une intelligence qu’on qualifie toujours de lumière de nos jours jusqu’à désigner ainsi quiconque la détiendrait. Un mot qui vient de Luz en langue de l'oiseau « le raisonnement (L) qui élève (U) vers la connaissance (Z) ». Le seul qui ouvre l’accès au véritable savoir.

Une intelligence créatrice qui en fut, en est, et restera à tout jamais la logique, puisqu'elle l’administre l'univers, tout en étant la seule qui peut éclairer un esprit afin de lui montrer où se trouve la vérité.

N’en devine le fonctionnement d’une chose que celui qui parvient à adopter la même pensée qui permit sa réalisation.

Ce fut d'ailleurs ainsi que la lumière - l'intelligence – fut, le jour où cette première personne sur Terre en eut la révélation, et qu'il fallut qu'elle le soit pour tous afin d’humaniser l'espèce ; genèse 1/3.

Mais une éducation dans ce sens qui ne pouvait pas se parfaire sans avoir élaboré le tout premier dialecte terrestre en rapport, en commençant à faire venir à soi toute chose pour les nommer ; genèse 2/19 et 2/20.

Une genèse qui n’explique pas la création de l’univers, tel cela fut mal interprété, mais le récit de la révélation de l’intelligence et de son expansion sur Terre. L’histoire de la première personne à être devenue humaine, qui réussit à acquérir l’intelligence suprême grâce au respect de toutes ses morales qui en permettent son accès, pendant que tous les autres en étaient encore que de simples hommes.

Un verbiage initial qui devait obéir obligatoirement à la logique, sinon de rendre impossible son éducation, ainsi que son aptitude à acquérir la connaissance. Le seul apte à définir le réalisme. Car ce ne fut qu’à la suite de cela que notre espèce put basculer brutalement d’une vie de nomades, chasseurs cueilleurs à vivre dans des cavernes, à celle de la sédentarisation et de la civilisation. Un langage qui avait été aussitôt accompagné des premiers signes pour le transcrire.

Un idiome simple, uniquement fondé sur la base de seize sons au départ, respectueux de la logique, surtout de son caractère universel, une mécanique similaire pour tout, et qui devait tout autant s'adapter à un phénomène de la nature qu’à celui de l'esprit. Un dialecte qui devait se comprendre par lui-même.

Un son A pour exemple qui désignait tout ce qui apporte une clarté – une lumière - qu'elle soit spirituelle ou autre. Un signe A qui se dessinait à l’horizontal aux prémisses, symbolisant un œil de profil, représentant l’organe par lequel la lumière nous pénètre, avant que les grecs redressent ce signe pour l’écrire tel qu'on le fait encore aujourd'hui

Ae ou Ea – le Soleil - La lumière (A) céleste (E) puisqu’il en est le seul à éclairer la Terre. Un symbole e qui symbolisait l'univers puisqu'il en représente la spirale qu’il forme.

Ag ou Ga - (Feu) – La lumière (A) terrestre (G) puisqu'il en était la seule chose qui leur permettait de s'éclairer sur Terre. Un son G qui voulait dire terre et que l'on retrouve dans géographie, plan de la Terre, géologie, étude de la Terre, genèse, naissance de la Terre.

At ou Ta – Conscience – La lumière intérieure puisque la conscience est la seule chose qui peut éclairer l'esprit pour lui faire voir où se trouve la vérité.

Al ou La – intelligence – La lumiere spirituelle ou sacrée (la logique suprême) puisqu'elle est la seule sagacité qui permet d’accéder au véritable savoir. L'unique à pouvoir se jumeler avec l'Ab ou Ba « la lumière (A) de la création (B) » (la logique absolue).

Des syllabes qui pouvaient aussi bien se prononcer à l'envers qu’à l’endroit. « Il est beau » tout comme « beau il est ».

Un An qui exprimait donc la lumière (A) primordiale (N). L’étoile qu'ils supposaient en leur temps au centre de l'univers. Celle de la création autour de laquelle tout tournerait. Un An – étoile primordiale - qui en était la supernova du cygne.

En effet, lors de la révélation de l’intelligence, vers 8800 ans avant JC, une supernova s’était formée dans la constellation dite de l'oiseau ; celle dite du cygne aujourd’hui. Une étoile qui s’était tellement mise à briller qu’on ne voyait plus qu'elle dans le ciel, au point même d’être la seule à rester visible pendant la journée. D’où cette apparentée que les anciens lui avaient associé avec celle de la création. Comme si tout dans l'univers aurait émané du An.

Un An chez les sumériens qui en était considéré comme le père de tous les dieux. Celui qui en serait à l’origine de tout. Un An qui n’était pas une personne mais le nom donné à la supernova du cygne.

Thsjkr34v9Une intelligence céleste - la lumière de la création (Ba) - qui aurait pris forme dans la constellation du cygne, et qui était symbolisée par l'oiseau Ba en Égypte. Un oiseau qui tient le symbole de la création dans les mains.

 

Une intelligence céleste qui se serait révélée dans la constellation du cygne, qui en fut aussi à l'origine du titre d’homme oiseau pour toute personne qui parvenait à acquérir cette intelligence suprême. Un esprit qui s'est communié avec celui de la Terre (G) de la lumière (A) primordiale (N) ; An-G (ange) ou G-An (géant).

Un mot An que l'on utilise encore le premier jour de l'année ; le nouvel An. Un nouveau cycle de l'univers, du An qui est né ; année. Sauf, que les premiers le définissaient par une rotation autour de la constellation de l'oiseau, alors qu'aujourd'hui il ne se limite qu'à une révolution autour du soleil.

Un temps presqu'équivalent entre les deux cycles puisque les signes astraux se représentent à la même période chaque année. Une durée d’un cycle solaire qui est pratiquement égale à celle d'un cycle astrologique.

Un nouvel An qui se produisait le quinze août au tout début, lorsque la constellation du cygne en redevenait alignée avec celle du renard, d’où l’apparenté de cet animal avec l’intelligence, avant que cette date en devienne celle de l’assomption dans le catholicisme. Une croyance selon laquelle la vierge Marie ne serait pas morte ce jour-là, pour en définir juste sa montée au ciel, alors que dans la vérité cela n’exprimait la fin définitive d’un cycle mais le renouvellement de celui-ci.

Proto semiticn 01 pngUne lettre N qui en représentait donc le vol de l'oiseau au tout début, les ailes déployées à plat en écriture proto hiéroglyphique, pour symboliser ce qui était arrivé en premier, la constellation dans laquelle le An se serait révélé pour la première fois, avant que ce symbole soit redressé pour devenir le N tel qu’on le connait aujourd’hui, mais qui exprimait le primordial aux prémisses.

 

D’où le surnom de la langue de l'oiseau à la logique pour en être la seule qui obéit à l’intelligence qui vint au jour dans cette constellation ; l’intelligence cosmique.

Un langage qui n’était pas déterminatif comme tous ceux d'aujourd'hui, pour exemple du mot rouge qui détermine une couleur et rien d'autre, dont seul un dictionnaire permet d’en recourir à sa définition. Sauf, que ceux-ci ne pouvaient pas exister aux prémisses. Une impossibilité à mémoriser beaucoup de mots avec leur définition, qui l’avait donc contrainte à les établir de façon qu’il se définissent d’eux-mêmes. Qu’on comprenne ce qu’ils veulent dire rien qu’en les disant.

A = lumière. Un dessin qui se présentait à l’horizontal au début pour exprimer un œil vu de profil. L’organe par lequel la lumière pénètre l’esprit.

B P ou V = création. Un signe qui se présentait sous la forme d’une barre (le corps) avec un arrondi au milieu (un gros ventre) pour symboliser la femme enceinte, qui procrée, afin d’en B p creation 1exprimer toute création. Un signe qui se transforma en b, la barre du corps plus haute vers le haut que le bas, et en P en pratiquant à l’envers, avant que cela le devienne sous la forme du V à cause de la posture que prend la femme pour mettre au monde. Un B qui se prononce d’ailleurs V en espagnol, jusqu’à même retrouvé le B et le V juxtaposés, dans Lefebvre pour exemple, alors que ces deux sons exprimaient la même chose. Une Ishtar (photo) à Sumer qui tient le symbole de la création.

 

D (Delta) = porte, niveau, ou degré. Des pyramides qui avaient été construites sous forme delta afin de les insinuer comme des portes qui mènent au ciel.

E = cosmique ou céleste. Un e qui représentait la forme en spirale de l’univers.

Spirale

 

 

 

G = Terre.

H = ce qui est le plus haut. Suprême ou suprématie. Il représentait la posture qu’on adopte pour pouvoir attraper ce qu’il y a de plus haut, debout sur la pointe des pieds les bras tendus en l’air.

I = réincarnation ou incarnation. Dans le sens de représenter quelque chose. Incarner un rôle par exemple. Un point sur le I qui représentait l’esprit pendant que la barre en définissait le corps. Un point détaché du corps afin de désigner un passage dans l’étape supérieure dans l’évolution mentale. Pour exemple d’un imbécile qui s’est réincarné en intelligent, et qui se retrouve donc avec un esprit - point - plus élevé qu’avant.

K = naissance ou renaissance. Un signe qui symbolisait le passage de l’inconscience vers la conscience. La récupération de cette dernière qui se disait aussi sous la forme de faire renaitre sa lumière intérieure (conscience) de ses cendres, ou crucifixion.

L = raisonnement ou compréhension. Un L qui se présentait sous la forme d’une canne avec crosse en écriture Proto hiéroglyphique. Une droiture physique qui fut éduquée en même temps que la venue de l’intelligence, et qui en fut la posture des premiers qui avaient suivi cet enseignement pendant que tous les autres se tenaient encore voutés. D’où l’expression de se tenir droit si on voudrait devenir un humain. Une droiture complète qui n’avait pu se parfaire qu’avec l’aide d’un bâton pour la marche au tout début, avant de parvenir à rendre plus robuste les dorsaux pour la préserver sans ne plus avoir besoin de tuteur pour cela. Une droiture qui en fut donc associée à l’arrivée de l’intelligence, du raisonnement et de sa compréhension, pour avoir été adoptée dans le même temps

M = maître ou maîtrise. Des anciens qui appelaient l’univers les eaux de dessus (l’océan primordial) – Noun en Egypte antique - pour être bleu comme la mer, qui elle était surnommée les Vagueeaux de dessous, dans laquelle les eaux de dessus se déversaient quand elles débordaient. Le monde de l’eau douce pour l’univers car la pluie tombe toujours ainsi, pendant que la Terre en était celui de l’eau salée pour devenir obligatoirement ainsi quand elle a rejoint la mer.

 

Une logique dans laquelle toute cause entraine systématiquement le même effet, et dont son obtention n’est pas réalisable tant qu’on ne parvient pas à maitriser toutes ses mécaniques. Des causes et effets que les anciens avaient assimilé à des vagues, d’où leur surnom de vagues à l’âme, les sacs et ressacs de l’océan primordial qu’il faudrait maitriser pour devenir intelligent. Une lettre M qui vient de la forme des vagues et qui en exprimaient la maitrise qu’il fallait acquérir pour atteindre l’intelligence suprême.

N = primordial. Un signe qui se présentait sous la forme d’un vol d’oiseau avec les ailes déployées à plat pour désigner le premier lieu où ils avaient supposé la naissance de l’univers, dans la constellation du cygne.

R = esprit. Un signe qui se présentait avec une grande barre (le corps) surmontée d’un gros rond (la tête) et un petit trait pour le bras, avant que le petit trait devienne plus grand jusqu’à toucher par terre. Un signe R devenu Rho en phénicien et qui signifiait tête.

S = éducation ou spiritualité. Un signe qui symbolise le serpent. Un animal qui est obligé à muer pour grandir, avant d’en imaginer de même pour l’esprit. Un serpent qui en était donc devenue la symbolique de l’éducation spirituelle et de la droiture. Des pharaons qui en étaient d’ailleurs surnommés des hommes serpent, les seuls guides spirituels capables de vous aider à faire muer votre esprit vers l’intelligence suprême – la logique - la seule à détenir la caractéristique d’éternité puisqu’elle en est l’induction qui administre l’univers. Une coiffe qui représentait la collerette du cobra, une queue de serpent sous le menton prise à tort pour une fausse barbe, pendant qu’ils en portaient la tête sur le front.

Sauf, qu’il existe plusieurs sortes de serpents – d’éducations mentales – toutes les mauvaises qui font muer l’esprit dans le mauvais sens, qui rend donc les gens plus bêtes et méchants, tandis qu’il n’en existe qu’une seule dans l’univers qui peut les humaniser et les rendre vraiment intelligent ; celle du serpent à plumes. Le serpent pour les mues qu’il faut opérer afin de faire grandir son esprit, et les plumes pour exprimer son objectif, parvenir à obtenir un esprit de l’homme oiseau. Une intelligence équivalente à celle qui avait vu le jour dans la constellation du cygne.

CaduceeUn caducée qui exprimait l’éducation - le serpent - de l'esprit de l'homme oiseau - les ailes - et la droiture - le bâton. L’éducation de la droiture qui s’était réalisée en même temps que la venue de l’intelligence qui permit la découverte des connaissances, telles celle de l’agriculture, de l’astronomie, de la médecine etc.

 

 

 

T = conscience. Un son qu’on pouvait traduire aussi par vérité car il en représentait la forme de la constellation du cygne qui est appelée de même la croix du Nord. Une vérité que l’on ne Cygnepourrait découvrir qu’en remontant le problème jusqu’à sa source, à l’origine de la création qui était supposée dans cette constellation.

 

 

 

U = élévation. Un signe qui représentait les deux bras en l’air, le gestuel qu’on adopte pour faire signe à quelqu’un d’autre de lever les choses. Les deux bras sur la tête que l’on retrouve Ka egyptesouvent sur des statues de pharaons, exprimant ainsi leur élévation mentale. Un U à l’origine de Up en anglais ; en haut. Mais qui dans l’ancien temps était représenté aussi par les cornes de taureaux ou vaches qui forment le même symbolique. Des personnes cornues qui en étaient donc intelligentes pour être parvenus à élever leur esprit.

 

 

Z = savoir où connaissance. Appelée l’abondance au départ. Une corne d’abondance qui signifiait l’élévation mentale (les cornes ou U) qui seule permettait d’acquérir la connaissance (l’abondance). Un son que l’on ne peut en comprendre son sens tant qu’on n’a pas compris la mécanique du tout premier langage. Un même mot qui pouvait tout autant s’adapter à un phénomène de la nature qu’à celui de l’esprit, tel celui de lumière, tout comme il en fut pour sexe. Un langage premier qui n’était pas déterminatif. Des mots qui ne restaient pas associés qu’à une chose.

(Une langue de l'oiseau sous cette forme qui est soumise à un brevet qui condamne quiconque voudrait la plagier)

Un mot sexe qui désignait tout ce qui donne vie. L’attribut sexuel sans lequel on ne pourrait pas procréer, le fondateur d’un clan pour lui avoir donné vie, et l’esprit sans lequel on ne pourrait pas vivre. Un esprit qui en était donc le sexe mental, tout comme la connaissance qui permit la naissance de beaucoup d’innovations. Une connaissance – Z – qui en fut le sexe de l’innovation, avant que cela devienne Zayin en hébreux ; sexe.

Des définitions de mots qui en résultaient uniquement de l’interprétation de toutes les lettres qui les composaient.

Un mot Nib « la première (N) incarnation (I) de la création (B) », qui en désignait le premier être créé ; celui préhistorique. Un ancêtre qui était encore inculte et dont son nom fut apparenté au néant par la suite. Un terme qui n’exprime plus l’homme préhistorique de nos jours, pour en être devenu un sobriquet qui désigne une personne qui ne sait rien, aussi inculte que le premier ancêtre.

Un langage simple, mais qui obéissait quand même à la mécanique de l'univers, dans lequel tout répond à la logique. Une même systématique sans laquelle tout réalisme en serait confondu.

Et c'est justement, à cause de cette absence de concordance dans les définitions de la majorité de nos jours qu’on en devine une dérive de son sens originel, puisqu’il ne suit plus la logique, que seule son étymologie initiale pourrait nous révéler.

Un mot qui vient de Mage en langue de l'oiseau « la maitrise (M) de la lumière (A) sur Terre (G) », la détention de l'intelligence, et Ité « qui incarne (I) la conscience (T) céleste (E) », qui représente le savoir céleste.

Une lettre T – conscience – qui représentait l’endroit ou celle-ci s’était révélée pour la première fois dans l'univers ; la constellation de la croix du Nord ou appelée autrement celle du cygne par les grecs, cigogne par les égyptiens, et oie par les romains.

Il fallait donc savoir comment fonctionne l'Ité – la conscience céleste - si on voulait acquérir la connaissance, avant que l'expression « vers Ité » en devienne sous le seul mot de vérité.

Une majorité qui en représentait donc la seule intelligence qui permet d'accéder à la vérité.

Un terme qui n’avait finalement rien à voir avec un numérique quelconque pour ne se référer qu’à un état d'esprit ; celui de l’intelligence suprême.

Une intelligence suprême – la majorité – qui en était donc devenue la seule référence qui pouvait attester d'un véritable savoir, afin d’éviter que naissent des idéologies. Que des contres vérités qui n’occasionneraient que le mal, rendant les gens cruels, tout en les enfonçant dans imbécilité.

Sans accord de majorité point n'en ressortirait réaliste.

Une intelligence suprême – la majorité - qui ne s'obtient qu’à la suite de la récupération de sa conscience et son élévation jusqu’à la septième vision, puisque celle-ci ne peut pas être innée, et dont ils en avaient estimé son acquisition qu'à partir d’un certain âge.

Sauf, que cela ne s'est limité qu'à une théorie qui ne s’est jamais confirmée sur le terrain. Une bascule de la réflexion infantile – l’égocentrisme – à celle de l’adulte qui n’est en rien lié à une ancienneté quelconque, puisqu'elle n’émane que de la volonté à récupérer sa conscience. Un mot adulte qui vient d'ailleurs d’Adulti « celui qui incarne le raisonnement qui s'est élevé jusqu’à la porte de la lumière suprême », celui qui est parvenu jusqu'au plus haut degré de l'intelligence, et qui en exprimait juste sa détention sans qu'aucun âge rentre en considération. Le peu d'ailleurs à y être parvenus en autodidacte l'ont été avant leur 18 ans, pendant que tous les autres en sont restés toute leur vie sans jamais l’acquérir.

Plus on tarde à se changer afin de récupérer sa conscience, et accéder donc à l'intelligence, plus cela est ardu d’y réussir car les mauvaises habitudes en deviennent de plus en plus difficiles à perdre avec le temps.

Une majorité – la logique suprême – qui en était devenue l'autorité suprême, l’œil qui voit tout, car la vision de la logique est la seule à permettre de deviner le passé, en définir correctement le présent, tout en anticipant des avenirs, grâce à sa caractéristique cyclique. Une vision de tout jusqu’à même percevoir ce qui est caché, telle la pensée d’autrui ; la capacité empathique.

Le seul raisonnement auquel il faut se subordonner si on voudrait devenir un vrai humain intelligent. L'unique apte à autoriser ou non des attitudes pour en être le seul qui n'est pas manichéen. Qui sait faire la différence entre le bien et le mal. Mais un raisonnement qui ne peut pas se faire valoir de lui-même, étant immatériel, au point que les anciens furent contraints d'en créer un conseil pour le représenter. Un groupe de personnes qui doivent détenir obligatoirement cette intelligence suprême - la cour des suprêmes – de ceux qui ont atteint la suprématie mentale.

D’où la nécessité d’être diplômé en psychologie – psyché logique – pour exercer ce métier.

En réclamer donc l’accord de la majorité ne consistait pas à faire appel au plus grand nombres de personnes, mais obtenir l'approbation de la cour suprême. Que des personnes qui ont réellement acquis l'adultisme - l'intelligence suprême - quelque soit leur âge.

Une dérive du mot majorité en un quantitatif qui en fut finalement un effet de l’inconscience, de cette réflexion qui est incapable à différencier le bien du mal jusqu’à les confondre, ne sachant pas comment fonctionne l’intelligence, une incapacité donc à s'y référer, et qui l'avait réduite au plus grand nombre de personnes qui répèteraient la même chose. D’où cette réplique incessante de leur part « si tout le monde le dit alors c'est vrai ». Un savoir qui n’en serait pas conforme à la logique pour en découler uniquement de l'influence par le nombre.

Une adhésion à l'opinion la plus communément admise sans qu'il en soit pourtant l'effet d'un jugement adéquate, mais uniquement par crainte de se retrouver dans le camp le moins nombreux, considéré illogiquement plus faible sur le moment, à cause du faux préjugé qui consiste à croire toujours des plus nombreux qu'ils en seraient continuellement les plus forts ; « Si on dix et vous trois alors c'est nous les meilleurs ». Un amalgame entre l'association physique de plusieurs à laquelle une seule personne, même la plus robuste, ne pourrait plus faire face, et celle mentale, alors qu’un seul intelligent est capable à lui seul de résoudre beaucoup plus de problèmes que ne serait le faire un groupe d'imbéciles. D’où l’aphorisme « vaut mieux un qui sait que dix qui cherchent ».

Une contre vérité aux idées reçues qui se confirme souvent sur le terrain. Il suffirait que vous rencontriez un ami dans la rue avec qui vous plaisanteriez. Une attitude qui ne pourrait pas attiser de crainte sur le moment, pour en être au contraire traduite en une grande bonté permanente. Une tendance égocentrique à ne savoir qu’éterniser les émois du moment. Si gentil vous semblez sur l'instant, alors gentil vous l'avez toujours été, et gentil vous le resterez. Une déduction trop rapide des situations qui fonctionne de même à l'envers. De violent vous vous montrerez sur le moment, de fou vous en seriez catalogué pour tout le restant de votre vie.

Qui n’a pas assisté à une bagarre dans la rue ? Une agressivité de personnes à faire peur au point de s’imaginer soi-même en danger. Un doute d’être le suivant sur la liste pour vite s’en écarter, à fuir sans hésiter tout belligérant impliqué dans l'incartade. Des personnes que vous aviez estimé dangereuses pour les avoir vu violentes, comme si elles ne pouvaient en être qu'éternellement ainsi.

Un fâcheux réflexe donc à associer tout sourire du moment à une innocence permanente. Une déduction, certes hâtive, mais qui en deviendra vite l'opinion unanime de tous les témoins de vos plaisanteries avec votre ami. S'ils plaisantent alors ils sont gentils. Une bonne appréciation de vous et votre ami auprès de votre entourage, même si aucun d’être eux ne vous connaîtrez, avant qu'une autre personne se présente. Un nouvel arrivant dont votre ami se mettra aussitôt à s'en méfier, allant même jusqu’à chercher refuge derrière vous. Une réaction de crainte suffisante à juger néfaste la venue de l'importun, sans qu'il n'ait eu besoin pourtant de montrer de signe d'hostilité. Or, il en sera vite catalogué ainsi, tant par vous que les autres témoins de la scène, puisqu'est systématiquement méchant à vos yeux quiconque ferait peur aux autres.

Un automatisme donc à vous interposer entre lui et votre ami, persuadé de défendre l'opprimé, que l'autre n’appréciera pas. D'une demande, même polie, à vous écarter, que vous ne bougeriez pas pour autant. Des tons qui pourraient donc montés de part et d'autre pouvant aller jusqu’à l’accrochage physique.

Un échauffourée pendant lequel les témoins s'empresseront d'appeler la police. « On était tous tranquilles avant qu'arrive le nouveau venu pour foutre le bordel » en est la phrase la plus souvent émise dans cette circonstance. Une accusation générale que le prévenu ne parviendra plus à contrer, puisque dans le monde inconscient, c’est toujours la majorité, sous le couvert du plus grand nombres de personnes qui pensent la même chose, qui aurait raison, « si tout le monde le dit alors c’est vrai ». Une opinion unanime à convaincre vite la police d’arrêter cet importun pour trouble à l’ordre public.

Ce que l’on appelle une vérité de fait car il est vrai que dans les faits tous en seraient réellement persuadés de la culpabilité de l’inculpé. Sauf, que cette déduction ne pourrait en aucun cas correspondre à une vérité de raison. Une différence entre ces deux versions, celle de fait ou de raison, que seule un empathique peut dissocier.

Une capacité que l’on obtient qu’à la suite de la récupération de sa conscience, une aptitude donc à comparer son comportement avec celui d’autrui dans les mêmes circonstances, en adapter l’opinion qui s’y accorde le mieux, afin d’en deviner ses pensées. Car, quiconque pourrait se croire ou dire ce qu’il veut, qu’il ne pourrait pas aller à l’encontre d’une attitude qui trahirait sa véritable pensée.

Qui n'a rien fait de mal, n'a rien à se reprocher, n'a aucune raison d'avoir peur. Ce qui n'est plus le cas quand on s'est mal comporté envers autrui.

Un ami qui aurait volé dix euros à un autre quelques jours avant votre rencontre dans la rue. Sa victime n'étant pas présente, personne d'autre n’étant au courant de son méfait, en passe donc de le critiquer ou le corriger pour cela, rien ne serait le contrarier sur l'instant. Un ami qui pourrait donc plaisanter avec vous comme si de rien n'était. Mais, une tranquillité d'esprit qui ne pourrait plus préserver si jamais sa victime se présentait. Du simple doute qu’elle soit là pour se venger légitimement du mal que votre qu’il lui a fait en le volant, ce dernier ne pourrait pas s’empêcher de le redouter.

Une crainte du nouveau venu pour en être devenu une victime de votre ami et non son tortionnaire. Un vrai coupable qui se trouvera finalement à côté de vous, pendant que vous le croiriez en face, à cause de votre réflexion manichéenne qui ne cesse pas de confondre le mal du bien, et du mauvais réflexe qui l'accompagne à croire systématiquement méchant toute personne qui ferait peur à une autre.

Une mauvaise déduction qui en ressortira pourtant générale, car tous en interpréteront de même, y compris la police, et qui finira par porter tort à la victime qui sera arrêtée pour trouble à l'ordre public.

Une version, « vérité » dite de faits, qui correspond à celle de la majorité, dans le sens du plus grand nombre de personnes, qui ne s'avère pas réaliste, voire totalement antinomique au bon sens. Une justice qui ne peut pas être en aucun cas des plus nombreux, sinon de rendre service aux coupables aux détriments des victimes. Pas plus logique de n’accorder qu’à ceux-ci le droit d’établir des règlements. D’où l'incohérence à associer le mot majorité, un terme qui représentait la véritable intelligence, à un quelconque numérique, puisque cette dernière a toujours été l’attribut de minoritaires.

Un âge de raison qui n'existe que dans l'imaginaire des inconscients car celle-ci n'a jamais été l’effet de vécu quelconque, encore moins de lien avec une ancienneté, puisque beaucoup passent leur vie sans parvenir à obtenir une vision réaliste.

   

 

 

      

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